{"id":1112,"date":"2021-04-19T11:15:41","date_gmt":"2021-04-19T09:15:41","guid":{"rendered":"https:\/\/www.veracash.com\/fr\/blog\/?p=1112"},"modified":"2024-08-21T16:52:19","modified_gmt":"2024-08-21T14:52:19","slug":"or-propre-et-ethique-est-ce-possible","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.veracash.com\/fr\/blog\/or-propre-et-ethique-est-ce-possible","title":{"rendered":"Un or propre et \u00e9thique : est-ce possible ?"},"content":{"rendered":"
[\/vc_column_text][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb173403″]\r\n\r\n
Le recyclage est une solution privil\u00e9gi\u00e9e par les affineurs qui fournissent l\u2019or \u00e0 VeraCash et sa maison m\u00e8re : plus de 80% de l\u2019or des Vera Valor provient du recyclage<\/strong>.<\/p>\r\n\r\n L’or et les diamants pr\u00e9sents dans les bagues, colliers, boucles d’oreilles doivent aujourd’hui avoir une origine \u00ab\u00a0propre\u00a0\u00bb, respectueuse de l’environnement mais aussi des personnes. La bijouterie, la joaillerie doivent absolument montrer qu’elles sont responsables. Le label Fairmined est indispensable.<\/p>\r\n\r\n La consommation responsable passe aussi\u2026 par un or responsable<\/strong>. Chez VeraCash, l\u2019engagement en faveur de l\u2019extraction mini\u00e8re raisonn\u00e9e et du recyclage<\/strong> n\u2019est pas nouveau\u00a0: il fait partie des valeurs port\u00e9es par VeraCash et plus largement des valeurs qui animent l\u2019ensemble du groupe. Ainsi, la grande majorit\u00e9 de l\u2019or conserv\u00e9 dans les coffres est issu de fili\u00e8res responsables, ou d\u2019un processus de recyclage certifi\u00e9. [\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row]<\/p>\r\n\r\nCe programme d\u2019audit des adh\u00e9rents \u00e0 la LBMA a pour but de :<\/p>\r\n Des engagements forts, pour utiliser l\u2019or dans le cadre d’une fili\u00e8re mini\u00e8re raisonn\u00e9e\u00a0! L\u2019or est une ressource qui s\u2019\u00e9puise, et dont les stocks sont limit\u00e9s. Les techniques qui sont actuellement mises \u00e0 profit pour extraire le m\u00e9tal pr\u00e9cieux le montrent : il faut chercher de plus en plus profond\u00e9ment, dans des conditions qui peuvent avoir encore plus d\u2019impact sur l\u2019environnement. Depuis les premi\u00e8res mines d\u2019or de l\u2019Antiquit\u00e9, on estime que 173 000 tonnes de m\u00e9tal pr\u00e9cieux ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 extraites par l\u2019homme. D\u2019autres estimations avancent le chiffre de 51 000 tonnes restant \u00e0 extraire. \u00a0<\/p>\r\n Le recyclage est une solution privil\u00e9gi\u00e9e par les affineurs qui fournissent l\u2019or \u00e0 VeraCash et sa maison m\u00e8re : plus de 80% de l\u2019or des Vera Valor provient du recyclage<\/strong>.<\/p>\r\n\r\n L’or et les diamants pr\u00e9sents dans les bagues, colliers, boucles d’oreilles doivent aujourd’hui avoir une origine \u00ab\u00a0propre\u00a0\u00bb, respectueuse de l’environnement mais aussi des personnes. La bijouterie, la joaillerie doivent absolument montrer qu’elles sont responsables. Le label Fairmined est indispensable.<\/p>\r\n\r\n La consommation responsable passe aussi\u2026 par un or responsable<\/strong>. Chez VeraCash, l\u2019engagement en faveur de l\u2019extraction mini\u00e8re raisonn\u00e9e et du recyclage<\/strong> n\u2019est pas nouveau\u00a0: il fait partie des valeurs port\u00e9es par VeraCash et plus largement des valeurs qui animent l\u2019ensemble du groupe. Ainsi, la grande majorit\u00e9 de l\u2019or conserv\u00e9 dans les coffres est issu de fili\u00e8res responsables, ou d\u2019un processus de recyclage certifi\u00e9. [\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row]<\/p><\/h2>\r\n\r\n De l\u2019or \u00e9thique et recycl\u00e9, respectueux de l\u2019homme et de l\u2019environnement ? C\u2019est possible. Il existe d\u2019ailleurs plusieurs labels, comme Fairmined<\/strong> ou Fairtrade<\/strong>, et de nouveaux acteurs qui s\u2019engagent pour un or propre, comme l\u2019organisation Responsible Jewellery Council. Elle a pour but de promouvoir des pratiques \u00e9thiques, sociales et environnementales responsables d\u2019un bout \u00e0 l\u2019autre de la cha\u00eene d\u2019approvisionnement. La convention de Minamata<\/strong>, sign\u00e9e en 2013, encadre plus fermement l\u2019utilisation du mercure pour l\u2019extraction aurif\u00e8re.<\/p>\r\n Les labels garantissent une tra\u00e7abilit\u00e9 de l\u2019or<\/strong>, avec des conditions d\u2019extraction qui limitent voire suppriment l\u2019utilisation de produits chimiques nocifs. Il s\u2019agit aussi de respecter le droit du travail au sein des exploitations, et de garantir des salaires dignes, m\u00eame au sein des petites exploitations artisanales. La certification LBMA (London Bullion Market Association) permet d\u2019identifier un approvisionnement responsable en or : le responsible sourcing<\/a>. Celui-ci se base d\u2019ailleurs sur le guide de l\u2019OCDE<\/a> (Organisation de Coop\u00e9ration et de D\u00e9veloppement \u00c9conomiques) pour des cha\u00eenes d\u2019approvisionnement responsables en minerais provenant de zones de conflit ou \u00e0 haut risque. C\u2019est la solution choisie par VeraCash (et le Groupe AuCOFFRE) dans le choix de ses affineurs d\u2019or pour la fabrication de ses Vera Valor<\/a>.<\/p>\r\n \r\n\r\nCe programme d\u2019audit des adh\u00e9rents \u00e0 la LBMA a pour but de :<\/p>\r\n Des engagements forts, pour utiliser l\u2019or dans le cadre d’une fili\u00e8re mini\u00e8re raisonn\u00e9e\u00a0! L\u2019or est une ressource qui s\u2019\u00e9puise, et dont les stocks sont limit\u00e9s. Les techniques qui sont actuellement mises \u00e0 profit pour extraire le m\u00e9tal pr\u00e9cieux le montrent : il faut chercher de plus en plus profond\u00e9ment, dans des conditions qui peuvent avoir encore plus d\u2019impact sur l\u2019environnement. Depuis les premi\u00e8res mines d\u2019or de l\u2019Antiquit\u00e9, on estime que 173 000 tonnes de m\u00e9tal pr\u00e9cieux ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 extraites par l\u2019homme. D\u2019autres estimations avancent le chiffre de 51 000 tonnes restant \u00e0 extraire. \u00a0<\/p>\r\n Le recyclage est une solution privil\u00e9gi\u00e9e par les affineurs qui fournissent l\u2019or \u00e0 VeraCash et sa maison m\u00e8re : plus de 80% de l\u2019or des Vera Valor provient du recyclage<\/strong>.<\/p>\r\n\r\n L’or et les diamants pr\u00e9sents dans les bagues, colliers, boucles d’oreilles doivent aujourd’hui avoir une origine \u00ab\u00a0propre\u00a0\u00bb, respectueuse de l’environnement mais aussi des personnes. La bijouterie, la joaillerie doivent absolument montrer qu’elles sont responsables. Le label Fairmined est indispensable.<\/p>\r\n\r\n La consommation responsable passe aussi\u2026 par un or responsable<\/strong>. Chez VeraCash, l\u2019engagement en faveur de l\u2019extraction mini\u00e8re raisonn\u00e9e et du recyclage<\/strong> n\u2019est pas nouveau\u00a0: il fait partie des valeurs port\u00e9es par VeraCash et plus largement des valeurs qui animent l\u2019ensemble du groupe. Ainsi, la grande majorit\u00e9 de l\u2019or conserv\u00e9 dans les coffres est issu de fili\u00e8res responsables, ou d\u2019un processus de recyclage certifi\u00e9. [\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row]<\/p> L\u2019utilisation de composants chimiques a aussi un impact sur les travailleurs comme sur les populations locales. Les premiers parce qu\u2019ils sont au contact de produits toxiques, les deuxi\u00e8mes en raison de la pollution de leurs ressources naturelles. Ainsi, des villages d\u2019Afrique situ\u00e9s autour de petites exploitations mini\u00e8res artisanales sont directement touch\u00e9s : la culture et la p\u00eache ne peuvent plus \u00eatre pratiqu\u00e9s.<\/p>\r\n Au-del\u00e0 de la pollution, ce sont les conditions de travail qui posent un r\u00e9el probl\u00e8me\u00a0: travail des enfants, structures non s\u00e9curis\u00e9es, bas salaires\u2026. Et cela, m\u00eame dans l\u2019industrie. En Afrique du Sud par exemple, les syndicats de mineurs se sont largement mobilis\u00e9s entre 2012 et 2013<\/a> pour obtenir de meilleures conditions de travail. Le pays est l\u2019un des plus importants producteurs d\u2019or, avec 3,17 millions d\u2019onces extraites en 2019 (source Ecofin).<\/a>Enfin, comme les diamants de sang, l\u2019or a aussi financ\u00e9 des conflits locaux et des guerres civiles, notamment dans les pays d\u2019Afrique, avec les cons\u00e9quences humaines que cela implique. De l\u2019or \u00e9thique et recycl\u00e9, respectueux de l\u2019homme et de l\u2019environnement ? C\u2019est possible. Il existe d\u2019ailleurs plusieurs labels, comme Fairmined<\/strong> ou Fairtrade<\/strong>, et de nouveaux acteurs qui s\u2019engagent pour un or propre, comme l\u2019organisation Responsible Jewellery Council. Elle a pour but de promouvoir des pratiques \u00e9thiques, sociales et environnementales responsables d\u2019un bout \u00e0 l\u2019autre de la cha\u00eene d\u2019approvisionnement. La convention de Minamata<\/strong>, sign\u00e9e en 2013, encadre plus fermement l\u2019utilisation du mercure pour l\u2019extraction aurif\u00e8re.<\/p>\r\n Les labels garantissent une tra\u00e7abilit\u00e9 de l\u2019or<\/strong>, avec des conditions d\u2019extraction qui limitent voire suppriment l\u2019utilisation de produits chimiques nocifs. Il s\u2019agit aussi de respecter le droit du travail au sein des exploitations, et de garantir des salaires dignes, m\u00eame au sein des petites exploitations artisanales. La certification LBMA (London Bullion Market Association) permet d\u2019identifier un approvisionnement responsable en or : le responsible sourcing<\/a>. Celui-ci se base d\u2019ailleurs sur le guide de l\u2019OCDE<\/a> (Organisation de Coop\u00e9ration et de D\u00e9veloppement \u00c9conomiques) pour des cha\u00eenes d\u2019approvisionnement responsables en minerais provenant de zones de conflit ou \u00e0 haut risque. C\u2019est la solution choisie par VeraCash (et le Groupe AuCOFFRE) dans le choix de ses affineurs d\u2019or pour la fabrication de ses Vera Valor<\/a>.<\/p>\r\n \r\n\r\nCe programme d\u2019audit des adh\u00e9rents \u00e0 la LBMA a pour but de :<\/p>\r\n Des engagements forts, pour utiliser l\u2019or dans le cadre d’une fili\u00e8re mini\u00e8re raisonn\u00e9e\u00a0! L\u2019or est une ressource qui s\u2019\u00e9puise, et dont les stocks sont limit\u00e9s. Les techniques qui sont actuellement mises \u00e0 profit pour extraire le m\u00e9tal pr\u00e9cieux le montrent : il faut chercher de plus en plus profond\u00e9ment, dans des conditions qui peuvent avoir encore plus d\u2019impact sur l\u2019environnement. Depuis les premi\u00e8res mines d\u2019or de l\u2019Antiquit\u00e9, on estime que 173 000 tonnes de m\u00e9tal pr\u00e9cieux ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 extraites par l\u2019homme. D\u2019autres estimations avancent le chiffre de 51 000 tonnes restant \u00e0 extraire. \u00a0<\/p>\r\n Le recyclage est une solution privil\u00e9gi\u00e9e par les affineurs qui fournissent l\u2019or \u00e0 VeraCash et sa maison m\u00e8re : plus de 80% de l\u2019or des Vera Valor provient du recyclage<\/strong>.<\/p>\r\n\r\n L’or et les diamants pr\u00e9sents dans les bagues, colliers, boucles d’oreilles doivent aujourd’hui avoir une origine \u00ab\u00a0propre\u00a0\u00bb, respectueuse de l’environnement mais aussi des personnes. La bijouterie, la joaillerie doivent absolument montrer qu’elles sont responsables. Le label Fairmined est indispensable.<\/p>\r\n\r\n La consommation responsable passe aussi\u2026 par un or responsable<\/strong>. Chez VeraCash, l\u2019engagement en faveur de l\u2019extraction mini\u00e8re raisonn\u00e9e et du recyclage<\/strong> n\u2019est pas nouveau\u00a0: il fait partie des valeurs port\u00e9es par VeraCash et plus largement des valeurs qui animent l\u2019ensemble du groupe. Ainsi, la grande majorit\u00e9 de l\u2019or conserv\u00e9 dans les coffres est issu de fili\u00e8res responsables, ou d\u2019un processus de recyclage certifi\u00e9. [\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row]<\/p>\r\n La d\u00e9forestation et le rejet de composants chimiques nocifs participent \u00e0 la d\u00e9t\u00e9rioration de l\u2019\u00e9cosyst\u00e8me et de l\u2019environnement<\/strong>. C\u2019est le cas m\u00eame lorsque les industries aurif\u00e8res respectent la r\u00e9glementation, notamment parce que celle-ci n\u2019est pas assez restrictive. Le Canada, par exemple, est l\u2019un des mauvais \u00e9l\u00e8ves de l\u2019extraction aurif\u00e8re, avec des mines d\u2019or o\u00f9 l\u2019arsenic a \u00e9t\u00e9 largement utilis\u00e9 et continue de polluer les sols. Un autre projet vient d\u2019\u00eatre report\u00e9 en Nouvelle-\u00c9cosse, en raison de \u00ab\u00a0l\u2019incertitude qui entoure l\u2019approvisionnement en eau\u00a0\u00bb, rapporte Ici Canada dans un article du 15 janvier 2021<\/a>.Pr\u00e9cisons tout de m\u00eame que les mines aurif\u00e8res ne sont pas les seules concern\u00e9es<\/strong>, puisque certaines des grandes catastrophes environnementales sont li\u00e9es \u00e0 l\u2019extraction d\u2019autres minerais. Les cons\u00e9quences peuvent aussi \u00eatre d\u00e9sastreuses lorsque les bassins de r\u00e9tention des eaux contamin\u00e9es c\u00e8dent, comme en Roumanie en janvier 2000<\/a> ou au Br\u00e9sil en 2015 et en 2019.\u00a0 Ainsi, la rupture d\u2019un barrage en janvier 2019 au Br\u00e9sil<\/a> a provoqu\u00e9 un tsunami de boue toxique (minerai de fer), qui a inond\u00e9 la r\u00e9gion du Minas Gerais, caus\u00e9 plusieurs morts et provoqu\u00e9 une catastrophe \u00e9cologique. En Guyane, le projet de la Montagne d\u2019or – en plein c\u0153ur de la for\u00eat primaire d\u2019Amazonie – devait lui aussi utiliser la technique du bassin de r\u00e9tention. Ce projet pr\u00e9voyait l\u2019exploitation de la plus grande mine \u00e0 ciel ouvert fran\u00e7aise \u00e0 partir de 2022. Il ne verra finalement pas le jour. En effet, en mai 2019 l\u2019ex\u00e9cutif a jug\u00e9 le projet de mine Montagne d\u2019or incompatible avec les exigences environnementales de la France*. C’est un exemple de la controverse qui na\u00eet lorsque les engagements d\u2019une extraction propre et respectueuse de l\u2019environnement ne sont pas suffisants. Selon le WWF, le projet aurait n\u00e9cessit\u00e9 57 000 tonnes d\u2019explosifs et 46 500 tonnes de cyanure pour extraire les 85 potentielles tonnes d\u2019or du site. De plus, tout projet industriel doit pr\u00e9voir aujourd’hui la remise \u201cen l’\u00e9tat\u201d du site. On imagine bien que c\u2019est, par d\u00e9finition, impossible pour une for\u00eat primaire.<\/p>\r\n Reste que le rejet du projet de Montagne d’or ne r\u00e8gle pas le probl\u00e8me de l’orpaillage ill\u00e9gal dans ce territoire fran\u00e7ais qui partage une fronti\u00e8re avec le Suriname. La Gendarmerie estime \u00e0 10 000 les orpailleurs clandestins sur 500 sites. Pour s\u00e9parer les paillettes d’or de la boue, les orpailleurs utilisent du mercure dont une partie se r\u00e9pand dans la nature. C\u2019est la principale cause de pollution au mercure de cette partie du monde, comme le montre une \u00e9tude d’enseignants chercheurs en g\u00e9ographie de l’Universit\u00e9 des Antilles et de la Guyane<\/a>. Cet or ill\u00e9gal se retrouve ensuite dans les bijoux dans les bijouteries locales. L\u2019utilisation de composants chimiques a aussi un impact sur les travailleurs comme sur les populations locales. Les premiers parce qu\u2019ils sont au contact de produits toxiques, les deuxi\u00e8mes en raison de la pollution de leurs ressources naturelles. Ainsi, des villages d\u2019Afrique situ\u00e9s autour de petites exploitations mini\u00e8res artisanales sont directement touch\u00e9s : la culture et la p\u00eache ne peuvent plus \u00eatre pratiqu\u00e9s.<\/p>\r\n Au-del\u00e0 de la pollution, ce sont les conditions de travail qui posent un r\u00e9el probl\u00e8me\u00a0: travail des enfants, structures non s\u00e9curis\u00e9es, bas salaires\u2026. Et cela, m\u00eame dans l\u2019industrie. En Afrique du Sud par exemple, les syndicats de mineurs se sont largement mobilis\u00e9s entre 2012 et 2013<\/a> pour obtenir de meilleures conditions de travail. Le pays est l\u2019un des plus importants producteurs d\u2019or, avec 3,17 millions d\u2019onces extraites en 2019 (source Ecofin).<\/a>Enfin, comme les diamants de sang, l\u2019or a aussi financ\u00e9 des conflits locaux et des guerres civiles, notamment dans les pays d\u2019Afrique, avec les cons\u00e9quences humaines que cela implique. De l\u2019or \u00e9thique et recycl\u00e9, respectueux de l\u2019homme et de l\u2019environnement ? C\u2019est possible. Il existe d\u2019ailleurs plusieurs labels, comme Fairmined<\/strong> ou Fairtrade<\/strong>, et de nouveaux acteurs qui s\u2019engagent pour un or propre, comme l\u2019organisation Responsible Jewellery Council. Elle a pour but de promouvoir des pratiques \u00e9thiques, sociales et environnementales responsables d\u2019un bout \u00e0 l\u2019autre de la cha\u00eene d\u2019approvisionnement. La convention de Minamata<\/strong>, sign\u00e9e en 2013, encadre plus fermement l\u2019utilisation du mercure pour l\u2019extraction aurif\u00e8re.<\/p>\r\n Les labels garantissent une tra\u00e7abilit\u00e9 de l\u2019or<\/strong>, avec des conditions d\u2019extraction qui limitent voire suppriment l\u2019utilisation de produits chimiques nocifs. Il s\u2019agit aussi de respecter le droit du travail au sein des exploitations, et de garantir des salaires dignes, m\u00eame au sein des petites exploitations artisanales. La certification LBMA (London Bullion Market Association) permet d\u2019identifier un approvisionnement responsable en or : le responsible sourcing<\/a>. Celui-ci se base d\u2019ailleurs sur le guide de l\u2019OCDE<\/a> (Organisation de Coop\u00e9ration et de D\u00e9veloppement \u00c9conomiques) pour des cha\u00eenes d\u2019approvisionnement responsables en minerais provenant de zones de conflit ou \u00e0 haut risque. C\u2019est la solution choisie par VeraCash (et le Groupe AuCOFFRE) dans le choix de ses affineurs d\u2019or pour la fabrication de ses Vera Valor<\/a>.<\/p>\r\n \r\n\r\nCe programme d\u2019audit des adh\u00e9rents \u00e0 la LBMA a pour but de :<\/p>\r\n Des engagements forts, pour utiliser l\u2019or dans le cadre d’une fili\u00e8re mini\u00e8re raisonn\u00e9e\u00a0! L\u2019or est une ressource qui s\u2019\u00e9puise, et dont les stocks sont limit\u00e9s. Les techniques qui sont actuellement mises \u00e0 profit pour extraire le m\u00e9tal pr\u00e9cieux le montrent : il faut chercher de plus en plus profond\u00e9ment, dans des conditions qui peuvent avoir encore plus d\u2019impact sur l\u2019environnement. Depuis les premi\u00e8res mines d\u2019or de l\u2019Antiquit\u00e9, on estime que 173 000 tonnes de m\u00e9tal pr\u00e9cieux ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 extraites par l\u2019homme. D\u2019autres estimations avancent le chiffre de 51 000 tonnes restant \u00e0 extraire. \u00a0<\/p>\r\n Le recyclage est une solution privil\u00e9gi\u00e9e par les affineurs qui fournissent l\u2019or \u00e0 VeraCash et sa maison m\u00e8re : plus de 80% de l\u2019or des Vera Valor provient du recyclage<\/strong>.<\/p>\r\n\r\n L’or et les diamants pr\u00e9sents dans les bagues, colliers, boucles d’oreilles doivent aujourd’hui avoir une origine \u00ab\u00a0propre\u00a0\u00bb, respectueuse de l’environnement mais aussi des personnes. La bijouterie, la joaillerie doivent absolument montrer qu’elles sont responsables. Le label Fairmined est indispensable.<\/p>\r\n\r\n La consommation responsable passe aussi\u2026 par un or responsable<\/strong>. Chez VeraCash, l\u2019engagement en faveur de l\u2019extraction mini\u00e8re raisonn\u00e9e et du recyclage<\/strong> n\u2019est pas nouveau\u00a0: il fait partie des valeurs port\u00e9es par VeraCash et plus largement des valeurs qui animent l\u2019ensemble du groupe. Ainsi, la grande majorit\u00e9 de l\u2019or conserv\u00e9 dans les coffres est issu de fili\u00e8res responsables, ou d\u2019un processus de recyclage certifi\u00e9. [\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row]<\/p>\u00a0<\/p>\r\n\r\n La d\u00e9forestation et le rejet de composants chimiques nocifs participent \u00e0 la d\u00e9t\u00e9rioration de l\u2019\u00e9cosyst\u00e8me et de l\u2019environnement<\/strong>. C\u2019est le cas m\u00eame lorsque les industries aurif\u00e8res respectent la r\u00e9glementation, notamment parce que celle-ci n\u2019est pas assez restrictive. Le Canada, par exemple, est l\u2019un des mauvais \u00e9l\u00e8ves de l\u2019extraction aurif\u00e8re, avec des mines d\u2019or o\u00f9 l\u2019arsenic a \u00e9t\u00e9 largement utilis\u00e9 et continue de polluer les sols. Un autre projet vient d\u2019\u00eatre report\u00e9 en Nouvelle-\u00c9cosse, en raison de \u00ab\u00a0l\u2019incertitude qui entoure l\u2019approvisionnement en eau\u00a0\u00bb, rapporte Ici Canada dans un article du 15 janvier 2021<\/a>.Pr\u00e9cisons tout de m\u00eame que les mines aurif\u00e8res ne sont pas les seules concern\u00e9es<\/strong>, puisque certaines des grandes catastrophes environnementales sont li\u00e9es \u00e0 l\u2019extraction d\u2019autres minerais. Les cons\u00e9quences peuvent aussi \u00eatre d\u00e9sastreuses lorsque les bassins de r\u00e9tention des eaux contamin\u00e9es c\u00e8dent, comme en Roumanie en janvier 2000<\/a> ou au Br\u00e9sil en 2015 et en 2019.\u00a0 Ainsi, la rupture d\u2019un barrage en janvier 2019 au Br\u00e9sil<\/a> a provoqu\u00e9 un tsunami de boue toxique (minerai de fer), qui a inond\u00e9 la r\u00e9gion du Minas Gerais, caus\u00e9 plusieurs morts et provoqu\u00e9 une catastrophe \u00e9cologique. En Guyane, le projet de la Montagne d\u2019or – en plein c\u0153ur de la for\u00eat primaire d\u2019Amazonie – devait lui aussi utiliser la technique du bassin de r\u00e9tention. Ce projet pr\u00e9voyait l\u2019exploitation de la plus grande mine \u00e0 ciel ouvert fran\u00e7aise \u00e0 partir de 2022. Il ne verra finalement pas le jour. En effet, en mai 2019 l\u2019ex\u00e9cutif a jug\u00e9 le projet de mine Montagne d\u2019or incompatible avec les exigences environnementales de la France*. C’est un exemple de la controverse qui na\u00eet lorsque les engagements d\u2019une extraction propre et respectueuse de l\u2019environnement ne sont pas suffisants. Selon le WWF, le projet aurait n\u00e9cessit\u00e9 57 000 tonnes d\u2019explosifs et 46 500 tonnes de cyanure pour extraire les 85 potentielles tonnes d\u2019or du site. De plus, tout projet industriel doit pr\u00e9voir aujourd’hui la remise \u201cen l’\u00e9tat\u201d du site. On imagine bien que c\u2019est, par d\u00e9finition, impossible pour une for\u00eat primaire.<\/p>\r\n Reste que le rejet du projet de Montagne d’or ne r\u00e8gle pas le probl\u00e8me de l’orpaillage ill\u00e9gal dans ce territoire fran\u00e7ais qui partage une fronti\u00e8re avec le Suriname. La Gendarmerie estime \u00e0 10 000 les orpailleurs clandestins sur 500 sites. Pour s\u00e9parer les paillettes d’or de la boue, les orpailleurs utilisent du mercure dont une partie se r\u00e9pand dans la nature. C\u2019est la principale cause de pollution au mercure de cette partie du monde, comme le montre une \u00e9tude d’enseignants chercheurs en g\u00e9ographie de l’Universit\u00e9 des Antilles et de la Guyane<\/a>. Cet or ill\u00e9gal se retrouve ensuite dans les bijoux dans les bijouteries locales. L\u2019utilisation de composants chimiques a aussi un impact sur les travailleurs comme sur les populations locales. Les premiers parce qu\u2019ils sont au contact de produits toxiques, les deuxi\u00e8mes en raison de la pollution de leurs ressources naturelles. Ainsi, des villages d\u2019Afrique situ\u00e9s autour de petites exploitations mini\u00e8res artisanales sont directement touch\u00e9s : la culture et la p\u00eache ne peuvent plus \u00eatre pratiqu\u00e9s.<\/p>\r\n Au-del\u00e0 de la pollution, ce sont les conditions de travail qui posent un r\u00e9el probl\u00e8me\u00a0: travail des enfants, structures non s\u00e9curis\u00e9es, bas salaires\u2026. Et cela, m\u00eame dans l\u2019industrie. En Afrique du Sud par exemple, les syndicats de mineurs se sont largement mobilis\u00e9s entre 2012 et 2013<\/a> pour obtenir de meilleures conditions de travail. Le pays est l\u2019un des plus importants producteurs d\u2019or, avec 3,17 millions d\u2019onces extraites en 2019 (source Ecofin).<\/a>Enfin, comme les diamants de sang, l\u2019or a aussi financ\u00e9 des conflits locaux et des guerres civiles, notamment dans les pays d\u2019Afrique, avec les cons\u00e9quences humaines que cela implique. De l\u2019or \u00e9thique et recycl\u00e9, respectueux de l\u2019homme et de l\u2019environnement ? C\u2019est possible. Il existe d\u2019ailleurs plusieurs labels, comme Fairmined<\/strong> ou Fairtrade<\/strong>, et de nouveaux acteurs qui s\u2019engagent pour un or propre, comme l\u2019organisation Responsible Jewellery Council. Elle a pour but de promouvoir des pratiques \u00e9thiques, sociales et environnementales responsables d\u2019un bout \u00e0 l\u2019autre de la cha\u00eene d\u2019approvisionnement. La convention de Minamata<\/strong>, sign\u00e9e en 2013, encadre plus fermement l\u2019utilisation du mercure pour l\u2019extraction aurif\u00e8re.<\/p>\r\n Les labels garantissent une tra\u00e7abilit\u00e9 de l\u2019or<\/strong>, avec des conditions d\u2019extraction qui limitent voire suppriment l\u2019utilisation de produits chimiques nocifs. Il s\u2019agit aussi de respecter le droit du travail au sein des exploitations, et de garantir des salaires dignes, m\u00eame au sein des petites exploitations artisanales. La certification LBMA (London Bullion Market Association) permet d\u2019identifier un approvisionnement responsable en or : le responsible sourcing<\/a>. Celui-ci se base d\u2019ailleurs sur le guide de l\u2019OCDE<\/a> (Organisation de Coop\u00e9ration et de D\u00e9veloppement \u00c9conomiques) pour des cha\u00eenes d\u2019approvisionnement responsables en minerais provenant de zones de conflit ou \u00e0 haut risque. C\u2019est la solution choisie par VeraCash (et le Groupe AuCOFFRE) dans le choix de ses affineurs d\u2019or pour la fabrication de ses Vera Valor<\/a>.<\/p>\r\n \r\n\r\nCe programme d\u2019audit des adh\u00e9rents \u00e0 la LBMA a pour but de :<\/p>\r\n Des engagements forts, pour utiliser l\u2019or dans le cadre d’une fili\u00e8re mini\u00e8re raisonn\u00e9e\u00a0! L\u2019or est une ressource qui s\u2019\u00e9puise, et dont les stocks sont limit\u00e9s. Les techniques qui sont actuellement mises \u00e0 profit pour extraire le m\u00e9tal pr\u00e9cieux le montrent : il faut chercher de plus en plus profond\u00e9ment, dans des conditions qui peuvent avoir encore plus d\u2019impact sur l\u2019environnement. Depuis les premi\u00e8res mines d\u2019or de l\u2019Antiquit\u00e9, on estime que 173 000 tonnes de m\u00e9tal pr\u00e9cieux ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 extraites par l\u2019homme. D\u2019autres estimations avancent le chiffre de 51 000 tonnes restant \u00e0 extraire. \u00a0<\/p>\r\n Le recyclage est une solution privil\u00e9gi\u00e9e par les affineurs qui fournissent l\u2019or \u00e0 VeraCash et sa maison m\u00e8re : plus de 80% de l\u2019or des Vera Valor provient du recyclage<\/strong>.<\/p>\r\n\r\n L’or et les diamants pr\u00e9sents dans les bagues, colliers, boucles d’oreilles doivent aujourd’hui avoir une origine \u00ab\u00a0propre\u00a0\u00bb, respectueuse de l’environnement mais aussi des personnes. La bijouterie, la joaillerie doivent absolument montrer qu’elles sont responsables. Le label Fairmined est indispensable.<\/p>\r\n\r\n La consommation responsable passe aussi\u2026 par un or responsable<\/strong>. Chez VeraCash, l\u2019engagement en faveur de l\u2019extraction mini\u00e8re raisonn\u00e9e et du recyclage<\/strong> n\u2019est pas nouveau\u00a0: il fait partie des valeurs port\u00e9es par VeraCash et plus largement des valeurs qui animent l\u2019ensemble du groupe. Ainsi, la grande majorit\u00e9 de l\u2019or conserv\u00e9 dans les coffres est issu de fili\u00e8res responsables, ou d\u2019un processus de recyclage certifi\u00e9. [\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row]<\/p><\/h4>\r\n\r\n L\u2019extraction peut se pratiquer dans des mines souterraines, ou dans des mines \u00e0 ciel ouvert (\u00ab\u00a0open pit\u00a0\u00bb).<\/p>\r\n \u00a0<\/p>\r\n\r\n La d\u00e9forestation et le rejet de composants chimiques nocifs participent \u00e0 la d\u00e9t\u00e9rioration de l\u2019\u00e9cosyst\u00e8me et de l\u2019environnement<\/strong>. C\u2019est le cas m\u00eame lorsque les industries aurif\u00e8res respectent la r\u00e9glementation, notamment parce que celle-ci n\u2019est pas assez restrictive. Le Canada, par exemple, est l\u2019un des mauvais \u00e9l\u00e8ves de l\u2019extraction aurif\u00e8re, avec des mines d\u2019or o\u00f9 l\u2019arsenic a \u00e9t\u00e9 largement utilis\u00e9 et continue de polluer les sols. Un autre projet vient d\u2019\u00eatre report\u00e9 en Nouvelle-\u00c9cosse, en raison de \u00ab\u00a0l\u2019incertitude qui entoure l\u2019approvisionnement en eau\u00a0\u00bb, rapporte Ici Canada dans un article du 15 janvier 2021<\/a>.Pr\u00e9cisons tout de m\u00eame que les mines aurif\u00e8res ne sont pas les seules concern\u00e9es<\/strong>, puisque certaines des grandes catastrophes environnementales sont li\u00e9es \u00e0 l\u2019extraction d\u2019autres minerais. Les cons\u00e9quences peuvent aussi \u00eatre d\u00e9sastreuses lorsque les bassins de r\u00e9tention des eaux contamin\u00e9es c\u00e8dent, comme en Roumanie en janvier 2000<\/a> ou au Br\u00e9sil en 2015 et en 2019.\u00a0 Ainsi, la rupture d\u2019un barrage en janvier 2019 au Br\u00e9sil<\/a> a provoqu\u00e9 un tsunami de boue toxique (minerai de fer), qui a inond\u00e9 la r\u00e9gion du Minas Gerais, caus\u00e9 plusieurs morts et provoqu\u00e9 une catastrophe \u00e9cologique. En Guyane, le projet de la Montagne d\u2019or – en plein c\u0153ur de la for\u00eat primaire d\u2019Amazonie – devait lui aussi utiliser la technique du bassin de r\u00e9tention. Ce projet pr\u00e9voyait l\u2019exploitation de la plus grande mine \u00e0 ciel ouvert fran\u00e7aise \u00e0 partir de 2022. Il ne verra finalement pas le jour. En effet, en mai 2019 l\u2019ex\u00e9cutif a jug\u00e9 le projet de mine Montagne d\u2019or incompatible avec les exigences environnementales de la France*. C’est un exemple de la controverse qui na\u00eet lorsque les engagements d\u2019une extraction propre et respectueuse de l\u2019environnement ne sont pas suffisants. Selon le WWF, le projet aurait n\u00e9cessit\u00e9 57 000 tonnes d\u2019explosifs et 46 500 tonnes de cyanure pour extraire les 85 potentielles tonnes d\u2019or du site. De plus, tout projet industriel doit pr\u00e9voir aujourd’hui la remise \u201cen l’\u00e9tat\u201d du site. On imagine bien que c\u2019est, par d\u00e9finition, impossible pour une for\u00eat primaire.<\/p>\r\n Reste que le rejet du projet de Montagne d’or ne r\u00e8gle pas le probl\u00e8me de l’orpaillage ill\u00e9gal dans ce territoire fran\u00e7ais qui partage une fronti\u00e8re avec le Suriname. La Gendarmerie estime \u00e0 10 000 les orpailleurs clandestins sur 500 sites. Pour s\u00e9parer les paillettes d’or de la boue, les orpailleurs utilisent du mercure dont une partie se r\u00e9pand dans la nature. C\u2019est la principale cause de pollution au mercure de cette partie du monde, comme le montre une \u00e9tude d’enseignants chercheurs en g\u00e9ographie de l’Universit\u00e9 des Antilles et de la Guyane<\/a>. Cet or ill\u00e9gal se retrouve ensuite dans les bijoux dans les bijouteries locales. L\u2019utilisation de composants chimiques a aussi un impact sur les travailleurs comme sur les populations locales. Les premiers parce qu\u2019ils sont au contact de produits toxiques, les deuxi\u00e8mes en raison de la pollution de leurs ressources naturelles. Ainsi, des villages d\u2019Afrique situ\u00e9s autour de petites exploitations mini\u00e8res artisanales sont directement touch\u00e9s : la culture et la p\u00eache ne peuvent plus \u00eatre pratiqu\u00e9s.<\/p>\r\n Au-del\u00e0 de la pollution, ce sont les conditions de travail qui posent un r\u00e9el probl\u00e8me\u00a0: travail des enfants, structures non s\u00e9curis\u00e9es, bas salaires\u2026. Et cela, m\u00eame dans l\u2019industrie. En Afrique du Sud par exemple, les syndicats de mineurs se sont largement mobilis\u00e9s entre 2012 et 2013<\/a> pour obtenir de meilleures conditions de travail. Le pays est l\u2019un des plus importants producteurs d\u2019or, avec 3,17 millions d\u2019onces extraites en 2019 (source Ecofin).<\/a>Enfin, comme les diamants de sang, l\u2019or a aussi financ\u00e9 des conflits locaux et des guerres civiles, notamment dans les pays d\u2019Afrique, avec les cons\u00e9quences humaines que cela implique. De l\u2019or \u00e9thique et recycl\u00e9, respectueux de l\u2019homme et de l\u2019environnement ? C\u2019est possible. Il existe d\u2019ailleurs plusieurs labels, comme Fairmined<\/strong> ou Fairtrade<\/strong>, et de nouveaux acteurs qui s\u2019engagent pour un or propre, comme l\u2019organisation Responsible Jewellery Council. Elle a pour but de promouvoir des pratiques \u00e9thiques, sociales et environnementales responsables d\u2019un bout \u00e0 l\u2019autre de la cha\u00eene d\u2019approvisionnement. La convention de Minamata<\/strong>, sign\u00e9e en 2013, encadre plus fermement l\u2019utilisation du mercure pour l\u2019extraction aurif\u00e8re.<\/p>\r\n Les labels garantissent une tra\u00e7abilit\u00e9 de l\u2019or<\/strong>, avec des conditions d\u2019extraction qui limitent voire suppriment l\u2019utilisation de produits chimiques nocifs. Il s\u2019agit aussi de respecter le droit du travail au sein des exploitations, et de garantir des salaires dignes, m\u00eame au sein des petites exploitations artisanales. La certification LBMA (London Bullion Market Association) permet d\u2019identifier un approvisionnement responsable en or : le responsible sourcing<\/a>. Celui-ci se base d\u2019ailleurs sur le guide de l\u2019OCDE<\/a> (Organisation de Coop\u00e9ration et de D\u00e9veloppement \u00c9conomiques) pour des cha\u00eenes d\u2019approvisionnement responsables en minerais provenant de zones de conflit ou \u00e0 haut risque. C\u2019est la solution choisie par VeraCash (et le Groupe AuCOFFRE) dans le choix de ses affineurs d\u2019or pour la fabrication de ses Vera Valor<\/a>.<\/p>\r\n \r\n\r\nCe programme d\u2019audit des adh\u00e9rents \u00e0 la LBMA a pour but de :<\/p>\r\n Des engagements forts, pour utiliser l\u2019or dans le cadre d’une fili\u00e8re mini\u00e8re raisonn\u00e9e\u00a0! L\u2019or est une ressource qui s\u2019\u00e9puise, et dont les stocks sont limit\u00e9s. Les techniques qui sont actuellement mises \u00e0 profit pour extraire le m\u00e9tal pr\u00e9cieux le montrent : il faut chercher de plus en plus profond\u00e9ment, dans des conditions qui peuvent avoir encore plus d\u2019impact sur l\u2019environnement. Depuis les premi\u00e8res mines d\u2019or de l\u2019Antiquit\u00e9, on estime que 173 000 tonnes de m\u00e9tal pr\u00e9cieux ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 extraites par l\u2019homme. D\u2019autres estimations avancent le chiffre de 51 000 tonnes restant \u00e0 extraire. \u00a0<\/p>\r\n Le recyclage est une solution privil\u00e9gi\u00e9e par les affineurs qui fournissent l\u2019or \u00e0 VeraCash et sa maison m\u00e8re : plus de 80% de l\u2019or des Vera Valor provient du recyclage<\/strong>.<\/p>\r\n\r\n L’or et les diamants pr\u00e9sents dans les bagues, colliers, boucles d’oreilles doivent aujourd’hui avoir une origine \u00ab\u00a0propre\u00a0\u00bb, respectueuse de l’environnement mais aussi des personnes. La bijouterie, la joaillerie doivent absolument montrer qu’elles sont responsables. Le label Fairmined est indispensable.<\/p>\r\n\r\n La consommation responsable passe aussi\u2026 par un or responsable<\/strong>. Chez VeraCash, l\u2019engagement en faveur de l\u2019extraction mini\u00e8re raisonn\u00e9e et du recyclage<\/strong> n\u2019est pas nouveau\u00a0: il fait partie des valeurs port\u00e9es par VeraCash et plus largement des valeurs qui animent l\u2019ensemble du groupe. Ainsi, la grande majorit\u00e9 de l\u2019or conserv\u00e9 dans les coffres est issu de fili\u00e8res responsables, ou d\u2019un processus de recyclage certifi\u00e9. [\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row]<\/p>\u00a0<\/p>\r\n \u00ab\u00a0Les m\u00e9thodes d\u2019extraction et de traitement des minerais n\u2019ont cess\u00e9 d\u2019\u00e9voluer, mobilisant pour ce faire toutes les ressources de la recherche et d\u00e9veloppement\u00a0\u00bb, estime Philippe Matheus dans son ouvrage Les techniques et conditions d\u2019exploitation des mines aurif\u00e8res<\/em><\/a>. Cela a \u00e9t\u00e9 le cas lors de la ru\u00e9e vers l\u2019or am\u00e9ricaine\u00a0: le m\u00e9tal pr\u00e9cieux a \u00e9t\u00e9 extrait dans des volumes jamais atteints sur une si courte p\u00e9riode. On estime ainsi que quelques 11 millions d\u2019onces d\u2019or (340 tonnes)<\/b> ont \u00e9t\u00e9 extraites par des mineurs\u00a0jusque dans le milieu des ann\u00e9es 1880 en Californie. En Californie, puis en Alaska \u00e0 partir de 1870, les techniques utilis\u00e9es pour extraire l\u2019or \u00e9voluent, avec l\u2019utilisation d\u2019arsenic et de mercure<\/b>.<\/p>\r\n\r\n L\u2019extraction peut se pratiquer dans des mines souterraines, ou dans des mines \u00e0 ciel ouvert (\u00ab\u00a0open pit\u00a0\u00bb).<\/p>\r\n \u00a0<\/p>\r\n\r\n La d\u00e9forestation et le rejet de composants chimiques nocifs participent \u00e0 la d\u00e9t\u00e9rioration de l\u2019\u00e9cosyst\u00e8me et de l\u2019environnement<\/strong>. C\u2019est le cas m\u00eame lorsque les industries aurif\u00e8res respectent la r\u00e9glementation, notamment parce que celle-ci n\u2019est pas assez restrictive. Le Canada, par exemple, est l\u2019un des mauvais \u00e9l\u00e8ves de l\u2019extraction aurif\u00e8re, avec des mines d\u2019or o\u00f9 l\u2019arsenic a \u00e9t\u00e9 largement utilis\u00e9 et continue de polluer les sols. Un autre projet vient d\u2019\u00eatre report\u00e9 en Nouvelle-\u00c9cosse, en raison de \u00ab\u00a0l\u2019incertitude qui entoure l\u2019approvisionnement en eau\u00a0\u00bb, rapporte Ici Canada dans un article du 15 janvier 2021<\/a>.Pr\u00e9cisons tout de m\u00eame que les mines aurif\u00e8res ne sont pas les seules concern\u00e9es<\/strong>, puisque certaines des grandes catastrophes environnementales sont li\u00e9es \u00e0 l\u2019extraction d\u2019autres minerais. Les cons\u00e9quences peuvent aussi \u00eatre d\u00e9sastreuses lorsque les bassins de r\u00e9tention des eaux contamin\u00e9es c\u00e8dent, comme en Roumanie en janvier 2000<\/a> ou au Br\u00e9sil en 2015 et en 2019.\u00a0 Ainsi, la rupture d\u2019un barrage en janvier 2019 au Br\u00e9sil<\/a> a provoqu\u00e9 un tsunami de boue toxique (minerai de fer), qui a inond\u00e9 la r\u00e9gion du Minas Gerais, caus\u00e9 plusieurs morts et provoqu\u00e9 une catastrophe \u00e9cologique. En Guyane, le projet de la Montagne d\u2019or – en plein c\u0153ur de la for\u00eat primaire d\u2019Amazonie – devait lui aussi utiliser la technique du bassin de r\u00e9tention. Ce projet pr\u00e9voyait l\u2019exploitation de la plus grande mine \u00e0 ciel ouvert fran\u00e7aise \u00e0 partir de 2022. Il ne verra finalement pas le jour. En effet, en mai 2019 l\u2019ex\u00e9cutif a jug\u00e9 le projet de mine Montagne d\u2019or incompatible avec les exigences environnementales de la France*. C’est un exemple de la controverse qui na\u00eet lorsque les engagements d\u2019une extraction propre et respectueuse de l\u2019environnement ne sont pas suffisants. Selon le WWF, le projet aurait n\u00e9cessit\u00e9 57 000 tonnes d\u2019explosifs et 46 500 tonnes de cyanure pour extraire les 85 potentielles tonnes d\u2019or du site. De plus, tout projet industriel doit pr\u00e9voir aujourd’hui la remise \u201cen l’\u00e9tat\u201d du site. On imagine bien que c\u2019est, par d\u00e9finition, impossible pour une for\u00eat primaire.<\/p>\r\n Reste que le rejet du projet de Montagne d’or ne r\u00e8gle pas le probl\u00e8me de l’orpaillage ill\u00e9gal dans ce territoire fran\u00e7ais qui partage une fronti\u00e8re avec le Suriname. La Gendarmerie estime \u00e0 10 000 les orpailleurs clandestins sur 500 sites. Pour s\u00e9parer les paillettes d’or de la boue, les orpailleurs utilisent du mercure dont une partie se r\u00e9pand dans la nature. C\u2019est la principale cause de pollution au mercure de cette partie du monde, comme le montre une \u00e9tude d’enseignants chercheurs en g\u00e9ographie de l’Universit\u00e9 des Antilles et de la Guyane<\/a>. Cet or ill\u00e9gal se retrouve ensuite dans les bijoux dans les bijouteries locales. L\u2019utilisation de composants chimiques a aussi un impact sur les travailleurs comme sur les populations locales. Les premiers parce qu\u2019ils sont au contact de produits toxiques, les deuxi\u00e8mes en raison de la pollution de leurs ressources naturelles. Ainsi, des villages d\u2019Afrique situ\u00e9s autour de petites exploitations mini\u00e8res artisanales sont directement touch\u00e9s : la culture et la p\u00eache ne peuvent plus \u00eatre pratiqu\u00e9s.<\/p>\r\n Au-del\u00e0 de la pollution, ce sont les conditions de travail qui posent un r\u00e9el probl\u00e8me\u00a0: travail des enfants, structures non s\u00e9curis\u00e9es, bas salaires\u2026. Et cela, m\u00eame dans l\u2019industrie. En Afrique du Sud par exemple, les syndicats de mineurs se sont largement mobilis\u00e9s entre 2012 et 2013<\/a> pour obtenir de meilleures conditions de travail. Le pays est l\u2019un des plus importants producteurs d\u2019or, avec 3,17 millions d\u2019onces extraites en 2019 (source Ecofin).<\/a>Enfin, comme les diamants de sang, l\u2019or a aussi financ\u00e9 des conflits locaux et des guerres civiles, notamment dans les pays d\u2019Afrique, avec les cons\u00e9quences humaines que cela implique. De l\u2019or \u00e9thique et recycl\u00e9, respectueux de l\u2019homme et de l\u2019environnement ? C\u2019est possible. Il existe d\u2019ailleurs plusieurs labels, comme Fairmined<\/strong> ou Fairtrade<\/strong>, et de nouveaux acteurs qui s\u2019engagent pour un or propre, comme l\u2019organisation Responsible Jewellery Council. Elle a pour but de promouvoir des pratiques \u00e9thiques, sociales et environnementales responsables d\u2019un bout \u00e0 l\u2019autre de la cha\u00eene d\u2019approvisionnement. La convention de Minamata<\/strong>, sign\u00e9e en 2013, encadre plus fermement l\u2019utilisation du mercure pour l\u2019extraction aurif\u00e8re.<\/p>\r\n Les labels garantissent une tra\u00e7abilit\u00e9 de l\u2019or<\/strong>, avec des conditions d\u2019extraction qui limitent voire suppriment l\u2019utilisation de produits chimiques nocifs. Il s\u2019agit aussi de respecter le droit du travail au sein des exploitations, et de garantir des salaires dignes, m\u00eame au sein des petites exploitations artisanales. La certification LBMA (London Bullion Market Association) permet d\u2019identifier un approvisionnement responsable en or : le responsible sourcing<\/a>. Celui-ci se base d\u2019ailleurs sur le guide de l\u2019OCDE<\/a> (Organisation de Coop\u00e9ration et de D\u00e9veloppement \u00c9conomiques) pour des cha\u00eenes d\u2019approvisionnement responsables en minerais provenant de zones de conflit ou \u00e0 haut risque. C\u2019est la solution choisie par VeraCash (et le Groupe AuCOFFRE) dans le choix de ses affineurs d\u2019or pour la fabrication de ses Vera Valor<\/a>.<\/p>\r\n \r\n\r\nCe programme d\u2019audit des adh\u00e9rents \u00e0 la LBMA a pour but de :<\/p>\r\n Des engagements forts, pour utiliser l\u2019or dans le cadre d’une fili\u00e8re mini\u00e8re raisonn\u00e9e\u00a0! L\u2019or est une ressource qui s\u2019\u00e9puise, et dont les stocks sont limit\u00e9s. Les techniques qui sont actuellement mises \u00e0 profit pour extraire le m\u00e9tal pr\u00e9cieux le montrent : il faut chercher de plus en plus profond\u00e9ment, dans des conditions qui peuvent avoir encore plus d\u2019impact sur l\u2019environnement. Depuis les premi\u00e8res mines d\u2019or de l\u2019Antiquit\u00e9, on estime que 173 000 tonnes de m\u00e9tal pr\u00e9cieux ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 extraites par l\u2019homme. D\u2019autres estimations avancent le chiffre de 51 000 tonnes restant \u00e0 extraire. \u00a0<\/p>\r\n Le recyclage est une solution privil\u00e9gi\u00e9e par les affineurs qui fournissent l\u2019or \u00e0 VeraCash et sa maison m\u00e8re : plus de 80% de l\u2019or des Vera Valor provient du recyclage<\/strong>.<\/p>\r\n\r\n L’or et les diamants pr\u00e9sents dans les bagues, colliers, boucles d’oreilles doivent aujourd’hui avoir une origine \u00ab\u00a0propre\u00a0\u00bb, respectueuse de l’environnement mais aussi des personnes. La bijouterie, la joaillerie doivent absolument montrer qu’elles sont responsables. Le label Fairmined est indispensable.<\/p>\r\n\r\n La consommation responsable passe aussi\u2026 par un or responsable<\/strong>. Chez VeraCash, l\u2019engagement en faveur de l\u2019extraction mini\u00e8re raisonn\u00e9e et du recyclage<\/strong> n\u2019est pas nouveau\u00a0: il fait partie des valeurs port\u00e9es par VeraCash et plus largement des valeurs qui animent l\u2019ensemble du groupe. Ainsi, la grande majorit\u00e9 de l\u2019or conserv\u00e9 dans les coffres est issu de fili\u00e8res responsables, ou d\u2019un processus de recyclage certifi\u00e9. [\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row]<\/p><\/h2>\r\n\r\n L\u2019or occupe une grande place dans l\u2019histoire de notre civilisation, et pas seulement pour celle qu\u2019il a prise en tant que monnaie. La ru\u00e9e vers l\u2019or \u00e0 partir de 1849 aux Etats-Unis est un excellent exemple de l\u2019impact que peut avoir l\u2019extraction du m\u00e9tal pr\u00e9cieux sur les territoires et sur l\u2019environnement<\/b>. La \u201cconqu\u00eate de l\u2019Ouest\u201d, boost\u00e9e par les d\u00e9couvertes de filons, provoque ainsi des effets humains et environnementaux majeurs\u00a0<\/b>: les guerres indiennes, la disparition des grands troupeaux de bisons, accidents dans les mines mutilent chaque ann\u00e9e 1 mineur sur 30 et en tuent 1 sur 80, les taux les plus \u00e9lev\u00e9s de toute l\u2019industrie am\u00e9ricaine \u00e0 l\u2019\u00e9poque. \u00a0<\/p>\r\n \u00ab\u00a0Les m\u00e9thodes d\u2019extraction et de traitement des minerais n\u2019ont cess\u00e9 d\u2019\u00e9voluer, mobilisant pour ce faire toutes les ressources de la recherche et d\u00e9veloppement\u00a0\u00bb, estime Philippe Matheus dans son ouvrage Les techniques et conditions d\u2019exploitation des mines aurif\u00e8res<\/em><\/a>. Cela a \u00e9t\u00e9 le cas lors de la ru\u00e9e vers l\u2019or am\u00e9ricaine\u00a0: le m\u00e9tal pr\u00e9cieux a \u00e9t\u00e9 extrait dans des volumes jamais atteints sur une si courte p\u00e9riode. On estime ainsi que quelques 11 millions d\u2019onces d\u2019or (340 tonnes)<\/b> ont \u00e9t\u00e9 extraites par des mineurs\u00a0jusque dans le milieu des ann\u00e9es 1880 en Californie. En Californie, puis en Alaska \u00e0 partir de 1870, les techniques utilis\u00e9es pour extraire l\u2019or \u00e9voluent, avec l\u2019utilisation d\u2019arsenic et de mercure<\/b>.<\/p>\r\n\r\n L\u2019extraction peut se pratiquer dans des mines souterraines, ou dans des mines \u00e0 ciel ouvert (\u00ab\u00a0open pit\u00a0\u00bb).<\/p>\r\n \u00a0<\/p>\r\n\r\n La d\u00e9forestation et le rejet de composants chimiques nocifs participent \u00e0 la d\u00e9t\u00e9rioration de l\u2019\u00e9cosyst\u00e8me et de l\u2019environnement<\/strong>. C\u2019est le cas m\u00eame lorsque les industries aurif\u00e8res respectent la r\u00e9glementation, notamment parce que celle-ci n\u2019est pas assez restrictive. Le Canada, par exemple, est l\u2019un des mauvais \u00e9l\u00e8ves de l\u2019extraction aurif\u00e8re, avec des mines d\u2019or o\u00f9 l\u2019arsenic a \u00e9t\u00e9 largement utilis\u00e9 et continue de polluer les sols. Un autre projet vient d\u2019\u00eatre report\u00e9 en Nouvelle-\u00c9cosse, en raison de \u00ab\u00a0l\u2019incertitude qui entoure l\u2019approvisionnement en eau\u00a0\u00bb, rapporte Ici Canada dans un article du 15 janvier 2021<\/a>.Pr\u00e9cisons tout de m\u00eame que les mines aurif\u00e8res ne sont pas les seules concern\u00e9es<\/strong>, puisque certaines des grandes catastrophes environnementales sont li\u00e9es \u00e0 l\u2019extraction d\u2019autres minerais. Les cons\u00e9quences peuvent aussi \u00eatre d\u00e9sastreuses lorsque les bassins de r\u00e9tention des eaux contamin\u00e9es c\u00e8dent, comme en Roumanie en janvier 2000<\/a> ou au Br\u00e9sil en 2015 et en 2019.\u00a0 Ainsi, la rupture d\u2019un barrage en janvier 2019 au Br\u00e9sil<\/a> a provoqu\u00e9 un tsunami de boue toxique (minerai de fer), qui a inond\u00e9 la r\u00e9gion du Minas Gerais, caus\u00e9 plusieurs morts et provoqu\u00e9 une catastrophe \u00e9cologique. En Guyane, le projet de la Montagne d\u2019or – en plein c\u0153ur de la for\u00eat primaire d\u2019Amazonie – devait lui aussi utiliser la technique du bassin de r\u00e9tention. Ce projet pr\u00e9voyait l\u2019exploitation de la plus grande mine \u00e0 ciel ouvert fran\u00e7aise \u00e0 partir de 2022. Il ne verra finalement pas le jour. En effet, en mai 2019 l\u2019ex\u00e9cutif a jug\u00e9 le projet de mine Montagne d\u2019or incompatible avec les exigences environnementales de la France*. C’est un exemple de la controverse qui na\u00eet lorsque les engagements d\u2019une extraction propre et respectueuse de l\u2019environnement ne sont pas suffisants. Selon le WWF, le projet aurait n\u00e9cessit\u00e9 57 000 tonnes d\u2019explosifs et 46 500 tonnes de cyanure pour extraire les 85 potentielles tonnes d\u2019or du site. De plus, tout projet industriel doit pr\u00e9voir aujourd’hui la remise \u201cen l’\u00e9tat\u201d du site. On imagine bien que c\u2019est, par d\u00e9finition, impossible pour une for\u00eat primaire.<\/p>\r\n Reste que le rejet du projet de Montagne d’or ne r\u00e8gle pas le probl\u00e8me de l’orpaillage ill\u00e9gal dans ce territoire fran\u00e7ais qui partage une fronti\u00e8re avec le Suriname. La Gendarmerie estime \u00e0 10 000 les orpailleurs clandestins sur 500 sites. Pour s\u00e9parer les paillettes d’or de la boue, les orpailleurs utilisent du mercure dont une partie se r\u00e9pand dans la nature. C\u2019est la principale cause de pollution au mercure de cette partie du monde, comme le montre une \u00e9tude d’enseignants chercheurs en g\u00e9ographie de l’Universit\u00e9 des Antilles et de la Guyane<\/a>. Cet or ill\u00e9gal se retrouve ensuite dans les bijoux dans les bijouteries locales. L\u2019utilisation de composants chimiques a aussi un impact sur les travailleurs comme sur les populations locales. Les premiers parce qu\u2019ils sont au contact de produits toxiques, les deuxi\u00e8mes en raison de la pollution de leurs ressources naturelles. Ainsi, des villages d\u2019Afrique situ\u00e9s autour de petites exploitations mini\u00e8res artisanales sont directement touch\u00e9s : la culture et la p\u00eache ne peuvent plus \u00eatre pratiqu\u00e9s.<\/p>\r\n Au-del\u00e0 de la pollution, ce sont les conditions de travail qui posent un r\u00e9el probl\u00e8me\u00a0: travail des enfants, structures non s\u00e9curis\u00e9es, bas salaires\u2026. Et cela, m\u00eame dans l\u2019industrie. En Afrique du Sud par exemple, les syndicats de mineurs se sont largement mobilis\u00e9s entre 2012 et 2013<\/a> pour obtenir de meilleures conditions de travail. Le pays est l\u2019un des plus importants producteurs d\u2019or, avec 3,17 millions d\u2019onces extraites en 2019 (source Ecofin).<\/a>Enfin, comme les diamants de sang, l\u2019or a aussi financ\u00e9 des conflits locaux et des guerres civiles, notamment dans les pays d\u2019Afrique, avec les cons\u00e9quences humaines que cela implique. De l\u2019or \u00e9thique et recycl\u00e9, respectueux de l\u2019homme et de l\u2019environnement ? C\u2019est possible. Il existe d\u2019ailleurs plusieurs labels, comme Fairmined<\/strong> ou Fairtrade<\/strong>, et de nouveaux acteurs qui s\u2019engagent pour un or propre, comme l\u2019organisation Responsible Jewellery Council. Elle a pour but de promouvoir des pratiques \u00e9thiques, sociales et environnementales responsables d\u2019un bout \u00e0 l\u2019autre de la cha\u00eene d\u2019approvisionnement. La convention de Minamata<\/strong>, sign\u00e9e en 2013, encadre plus fermement l\u2019utilisation du mercure pour l\u2019extraction aurif\u00e8re.<\/p>\r\n Les labels garantissent une tra\u00e7abilit\u00e9 de l\u2019or<\/strong>, avec des conditions d\u2019extraction qui limitent voire suppriment l\u2019utilisation de produits chimiques nocifs. Il s\u2019agit aussi de respecter le droit du travail au sein des exploitations, et de garantir des salaires dignes, m\u00eame au sein des petites exploitations artisanales. La certification LBMA (London Bullion Market Association) permet d\u2019identifier un approvisionnement responsable en or : le responsible sourcing<\/a>. Celui-ci se base d\u2019ailleurs sur le guide de l\u2019OCDE<\/a> (Organisation de Coop\u00e9ration et de D\u00e9veloppement \u00c9conomiques) pour des cha\u00eenes d\u2019approvisionnement responsables en minerais provenant de zones de conflit ou \u00e0 haut risque. C\u2019est la solution choisie par VeraCash (et le Groupe AuCOFFRE) dans le choix de ses affineurs d\u2019or pour la fabrication de ses Vera Valor<\/a>.<\/p>\r\n \r\n\r\nCe programme d\u2019audit des adh\u00e9rents \u00e0 la LBMA a pour but de :<\/p>\r\n Des engagements forts, pour utiliser l\u2019or dans le cadre d’une fili\u00e8re mini\u00e8re raisonn\u00e9e\u00a0! L\u2019or est une ressource qui s\u2019\u00e9puise, et dont les stocks sont limit\u00e9s. Les techniques qui sont actuellement mises \u00e0 profit pour extraire le m\u00e9tal pr\u00e9cieux le montrent : il faut chercher de plus en plus profond\u00e9ment, dans des conditions qui peuvent avoir encore plus d\u2019impact sur l\u2019environnement. Depuis les premi\u00e8res mines d\u2019or de l\u2019Antiquit\u00e9, on estime que 173 000 tonnes de m\u00e9tal pr\u00e9cieux ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 extraites par l\u2019homme. D\u2019autres estimations avancent le chiffre de 51 000 tonnes restant \u00e0 extraire.4. Vers un or propre : adopter une consommation plus responsable<\/h2>\r\n\r\n
La bijouterie \u00e9thique : un mouvement soci\u00e9tal fort !<\/h3>\r\n
Des bonnes pratiques en faveur d\u2019un or plus durable<\/h3>\r\n
L\u2019achat d\u2019or responsable passe aussi par les habitudes de chacun : personne ne souhaite soutenir des conflits en Afrique en achetant du \u00ab\u00a0blood gold\u00a0\u00bb ou encourager les mauvaises pratiques d\u2019extraction ! Un acheteur doit donc v\u00e9rifier la fili\u00e8re et les \u00e9ventuels labels et doit \u00e9galement utiliser l\u2019or achet\u00e9 de mani\u00e8re raisonn\u00e9e pour limiter son empreinte carbone.\u00a0VeraCash stocke l\u2019or physique dans des coffres aux PFEG. Il est ensuite achet\u00e9 et vendu de mani\u00e8re num\u00e9rique et s\u00e9curis\u00e9e sur la plateforme, sans envoi \u00e0 domicile, \u00e9vitant ainsi de nouveaux transports. Une autre fa\u00e7on de s\u2019engager en faveur d\u2019un or vert, plus durable et plus responsable.
<\/p>\r\n\u00a0<\/h3>\r\n
\r\n
<\/p>\r\n\r\n
Le recyclage, une autre fa\u00e7on de garantir un or propre<\/h3>\r\n
Le recyclage\u00a0est une solution \u00e9vidente lorsque l\u2019on cherche \u00e0 r\u00e9duire son impact environnemental. Cela permet de donner une nouvelle vie aux m\u00e9taux pr\u00e9cieux<\/strong> utilis\u00e9s dans les composants \u00e9lectroniques\u00a0: des ordinateurs ou des smartphones par exemple, ou aux objets pr\u00e9cieux, aux cr\u00e9ations\u00a0qui sont pass\u00e9es de mode en bijouterie\u00a0ou aux pi\u00e8ces d\u2019or ab\u00eem\u00e9es ou d\u00e9mon\u00e9tis\u00e9es. Ainsi, on \u00e9vite la pollution li\u00e9e \u00e0 l\u2019extraction de l\u2019or, puisque celui-ci a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 produit. Mais il faut quand m\u00eame s\u2019assurer que cet or recycl\u00e9 respecte des conditions strictes de tra\u00e7abilit\u00e9 et d\u2019\u00e9thique<\/strong>.<\/p>\r\n4. Vers un or propre : adopter une consommation plus responsable<\/h2>\r\n\r\n
La bijouterie \u00e9thique : un mouvement soci\u00e9tal fort !<\/h3>\r\n
Des bonnes pratiques en faveur d\u2019un or plus durable<\/h3>\r\n
L\u2019achat d\u2019or responsable passe aussi par les habitudes de chacun : personne ne souhaite soutenir des conflits en Afrique en achetant du \u00ab\u00a0blood gold\u00a0\u00bb ou encourager les mauvaises pratiques d\u2019extraction ! Un acheteur doit donc v\u00e9rifier la fili\u00e8re et les \u00e9ventuels labels et doit \u00e9galement utiliser l\u2019or achet\u00e9 de mani\u00e8re raisonn\u00e9e pour limiter son empreinte carbone.\u00a0VeraCash stocke l\u2019or physique dans des coffres aux PFEG. Il est ensuite achet\u00e9 et vendu de mani\u00e8re num\u00e9rique et s\u00e9curis\u00e9e sur la plateforme, sans envoi \u00e0 domicile, \u00e9vitant ainsi de nouveaux transports. Une autre fa\u00e7on de s\u2019engager en faveur d\u2019un or vert, plus durable et plus responsable.
<\/p>\r\n\u00a0<\/h3>\r\n
Des labels pour un or propre : Fairmined, Fairtrade<\/h3>\r\n
<\/p>\r\nVeraCash fait confiance \u00e0 la LBMA<\/h3>\r\n
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Le recyclage, une autre fa\u00e7on de garantir un or propre<\/h3>\r\n
Le recyclage\u00a0est une solution \u00e9vidente lorsque l\u2019on cherche \u00e0 r\u00e9duire son impact environnemental. Cela permet de donner une nouvelle vie aux m\u00e9taux pr\u00e9cieux<\/strong> utilis\u00e9s dans les composants \u00e9lectroniques\u00a0: des ordinateurs ou des smartphones par exemple, ou aux objets pr\u00e9cieux, aux cr\u00e9ations\u00a0qui sont pass\u00e9es de mode en bijouterie\u00a0ou aux pi\u00e8ces d\u2019or ab\u00eem\u00e9es ou d\u00e9mon\u00e9tis\u00e9es. Ainsi, on \u00e9vite la pollution li\u00e9e \u00e0 l\u2019extraction de l\u2019or, puisque celui-ci a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 produit. Mais il faut quand m\u00eame s\u2019assurer que cet or recycl\u00e9 respecte des conditions strictes de tra\u00e7abilit\u00e9 et d\u2019\u00e9thique<\/strong>.<\/p>\r\n4. Vers un or propre : adopter une consommation plus responsable<\/h2>\r\n\r\n
La bijouterie \u00e9thique : un mouvement soci\u00e9tal fort !<\/h3>\r\n
Des bonnes pratiques en faveur d\u2019un or plus durable<\/h3>\r\n
L\u2019achat d\u2019or responsable passe aussi par les habitudes de chacun : personne ne souhaite soutenir des conflits en Afrique en achetant du \u00ab\u00a0blood gold\u00a0\u00bb ou encourager les mauvaises pratiques d\u2019extraction ! Un acheteur doit donc v\u00e9rifier la fili\u00e8re et les \u00e9ventuels labels et doit \u00e9galement utiliser l\u2019or achet\u00e9 de mani\u00e8re raisonn\u00e9e pour limiter son empreinte carbone.\u00a0VeraCash stocke l\u2019or physique dans des coffres aux PFEG. Il est ensuite achet\u00e9 et vendu de mani\u00e8re num\u00e9rique et s\u00e9curis\u00e9e sur la plateforme, sans envoi \u00e0 domicile, \u00e9vitant ainsi de nouveaux transports. Une autre fa\u00e7on de s\u2019engager en faveur d\u2019un or vert, plus durable et plus responsable.
<\/p>\r\n\u00a0<\/h3>\r\n
*Un nouveau projet cens\u00e9 remplacer la Montagne d\u2019or et baptis\u00e9 \u201cEsp\u00e9rance<\/a>\u201d a vu le jour…<\/p>\r\nL\u2019extraction de l\u2019or est \u00e9galement au c\u0153ur de scandales sociaux<\/h3>\r\n
<\/p>\r\n3. Comment l\u2019extraction aurif\u00e8re et le recyclage peuvent soutenir un or propre et \u00e9thique ?<\/h2>\r\n\r\n
Des labels pour un or propre : Fairmined, Fairtrade<\/h3>\r\n
<\/p>\r\nVeraCash fait confiance \u00e0 la LBMA<\/h3>\r\n
<\/h3>\r\n
\r\n
<\/p>\r\n\r\n
Le recyclage, une autre fa\u00e7on de garantir un or propre<\/h3>\r\n
Le recyclage\u00a0est une solution \u00e9vidente lorsque l\u2019on cherche \u00e0 r\u00e9duire son impact environnemental. Cela permet de donner une nouvelle vie aux m\u00e9taux pr\u00e9cieux<\/strong> utilis\u00e9s dans les composants \u00e9lectroniques\u00a0: des ordinateurs ou des smartphones par exemple, ou aux objets pr\u00e9cieux, aux cr\u00e9ations\u00a0qui sont pass\u00e9es de mode en bijouterie\u00a0ou aux pi\u00e8ces d\u2019or ab\u00eem\u00e9es ou d\u00e9mon\u00e9tis\u00e9es. Ainsi, on \u00e9vite la pollution li\u00e9e \u00e0 l\u2019extraction de l\u2019or, puisque celui-ci a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 produit. Mais il faut quand m\u00eame s\u2019assurer que cet or recycl\u00e9 respecte des conditions strictes de tra\u00e7abilit\u00e9 et d\u2019\u00e9thique<\/strong>.<\/p>\r\n4. Vers un or propre : adopter une consommation plus responsable<\/h2>\r\n\r\n
La bijouterie \u00e9thique : un mouvement soci\u00e9tal fort !<\/h3>\r\n
Des bonnes pratiques en faveur d\u2019un or plus durable<\/h3>\r\n
L\u2019achat d\u2019or responsable passe aussi par les habitudes de chacun : personne ne souhaite soutenir des conflits en Afrique en achetant du \u00ab\u00a0blood gold\u00a0\u00bb ou encourager les mauvaises pratiques d\u2019extraction ! Un acheteur doit donc v\u00e9rifier la fili\u00e8re et les \u00e9ventuels labels et doit \u00e9galement utiliser l\u2019or achet\u00e9 de mani\u00e8re raisonn\u00e9e pour limiter son empreinte carbone.\u00a0VeraCash stocke l\u2019or physique dans des coffres aux PFEG. Il est ensuite achet\u00e9 et vendu de mani\u00e8re num\u00e9rique et s\u00e9curis\u00e9e sur la plateforme, sans envoi \u00e0 domicile, \u00e9vitant ainsi de nouveaux transports. Une autre fa\u00e7on de s\u2019engager en faveur d\u2019un or vert, plus durable et plus responsable.
<\/p>\r\n\u00a0<\/h3>\r\n
2. Extraction de l\u2019or : quelles cons\u00e9quences pour l\u2019homme et l\u2019environnement ?
<\/h2>\r\nOrpaillage ill\u00e9gal, composants chimiques, accidents… Un impact majeur sur l\u2019environnement<\/h3>\r\n
<\/p>\r\n\r\n
Montagne d\u2019or, orpaillage ill\u00e9gal : la controverse autour de l\u2019or en Guyane<\/h3>\r\n
*Un nouveau projet cens\u00e9 remplacer la Montagne d\u2019or et baptis\u00e9 \u201cEsp\u00e9rance<\/a>\u201d a vu le jour…<\/p>\r\nL\u2019extraction de l\u2019or est \u00e9galement au c\u0153ur de scandales sociaux<\/h3>\r\n
<\/p>\r\n3. Comment l\u2019extraction aurif\u00e8re et le recyclage peuvent soutenir un or propre et \u00e9thique ?<\/h2>\r\n\r\n
Des labels pour un or propre : Fairmined, Fairtrade<\/h3>\r\n
<\/p>\r\nVeraCash fait confiance \u00e0 la LBMA<\/h3>\r\n
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Le recyclage, une autre fa\u00e7on de garantir un or propre<\/h3>\r\n
Le recyclage\u00a0est une solution \u00e9vidente lorsque l\u2019on cherche \u00e0 r\u00e9duire son impact environnemental. Cela permet de donner une nouvelle vie aux m\u00e9taux pr\u00e9cieux<\/strong> utilis\u00e9s dans les composants \u00e9lectroniques\u00a0: des ordinateurs ou des smartphones par exemple, ou aux objets pr\u00e9cieux, aux cr\u00e9ations\u00a0qui sont pass\u00e9es de mode en bijouterie\u00a0ou aux pi\u00e8ces d\u2019or ab\u00eem\u00e9es ou d\u00e9mon\u00e9tis\u00e9es. Ainsi, on \u00e9vite la pollution li\u00e9e \u00e0 l\u2019extraction de l\u2019or, puisque celui-ci a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 produit. Mais il faut quand m\u00eame s\u2019assurer que cet or recycl\u00e9 respecte des conditions strictes de tra\u00e7abilit\u00e9 et d\u2019\u00e9thique<\/strong>.<\/p>\r\n4. Vers un or propre : adopter une consommation plus responsable<\/h2>\r\n\r\n
La bijouterie \u00e9thique : un mouvement soci\u00e9tal fort !<\/h3>\r\n
Des bonnes pratiques en faveur d\u2019un or plus durable<\/h3>\r\n
L\u2019achat d\u2019or responsable passe aussi par les habitudes de chacun : personne ne souhaite soutenir des conflits en Afrique en achetant du \u00ab\u00a0blood gold\u00a0\u00bb ou encourager les mauvaises pratiques d\u2019extraction ! Un acheteur doit donc v\u00e9rifier la fili\u00e8re et les \u00e9ventuels labels et doit \u00e9galement utiliser l\u2019or achet\u00e9 de mani\u00e8re raisonn\u00e9e pour limiter son empreinte carbone.\u00a0VeraCash stocke l\u2019or physique dans des coffres aux PFEG. Il est ensuite achet\u00e9 et vendu de mani\u00e8re num\u00e9rique et s\u00e9curis\u00e9e sur la plateforme, sans envoi \u00e0 domicile, \u00e9vitant ainsi de nouveaux transports. Une autre fa\u00e7on de s\u2019engager en faveur d\u2019un or vert, plus durable et plus responsable.
<\/p>\r\n\u00a0<\/h3>\r\n
2. Extraction de l\u2019or : quelles cons\u00e9quences pour l\u2019homme et l\u2019environnement ?
<\/h2>\r\nOrpaillage ill\u00e9gal, composants chimiques, accidents… Un impact majeur sur l\u2019environnement<\/h3>\r\n
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Montagne d\u2019or, orpaillage ill\u00e9gal : la controverse autour de l\u2019or en Guyane<\/h3>\r\n
*Un nouveau projet cens\u00e9 remplacer la Montagne d\u2019or et baptis\u00e9 \u201cEsp\u00e9rance<\/a>\u201d a vu le jour…<\/p>\r\nL\u2019extraction de l\u2019or est \u00e9galement au c\u0153ur de scandales sociaux<\/h3>\r\n
<\/p>\r\n3. Comment l\u2019extraction aurif\u00e8re et le recyclage peuvent soutenir un or propre et \u00e9thique ?<\/h2>\r\n\r\n
Des labels pour un or propre : Fairmined, Fairtrade<\/h3>\r\n
<\/p>\r\nVeraCash fait confiance \u00e0 la LBMA<\/h3>\r\n
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Le recyclage, une autre fa\u00e7on de garantir un or propre<\/h3>\r\n
Le recyclage\u00a0est une solution \u00e9vidente lorsque l\u2019on cherche \u00e0 r\u00e9duire son impact environnemental. Cela permet de donner une nouvelle vie aux m\u00e9taux pr\u00e9cieux<\/strong> utilis\u00e9s dans les composants \u00e9lectroniques\u00a0: des ordinateurs ou des smartphones par exemple, ou aux objets pr\u00e9cieux, aux cr\u00e9ations\u00a0qui sont pass\u00e9es de mode en bijouterie\u00a0ou aux pi\u00e8ces d\u2019or ab\u00eem\u00e9es ou d\u00e9mon\u00e9tis\u00e9es. Ainsi, on \u00e9vite la pollution li\u00e9e \u00e0 l\u2019extraction de l\u2019or, puisque celui-ci a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 produit. Mais il faut quand m\u00eame s\u2019assurer que cet or recycl\u00e9 respecte des conditions strictes de tra\u00e7abilit\u00e9 et d\u2019\u00e9thique<\/strong>.<\/p>\r\n4. Vers un or propre : adopter une consommation plus responsable<\/h2>\r\n\r\n
La bijouterie \u00e9thique : un mouvement soci\u00e9tal fort !<\/h3>\r\n
Des bonnes pratiques en faveur d\u2019un or plus durable<\/h3>\r\n
L\u2019achat d\u2019or responsable passe aussi par les habitudes de chacun : personne ne souhaite soutenir des conflits en Afrique en achetant du \u00ab\u00a0blood gold\u00a0\u00bb ou encourager les mauvaises pratiques d\u2019extraction ! Un acheteur doit donc v\u00e9rifier la fili\u00e8re et les \u00e9ventuels labels et doit \u00e9galement utiliser l\u2019or achet\u00e9 de mani\u00e8re raisonn\u00e9e pour limiter son empreinte carbone.\u00a0VeraCash stocke l\u2019or physique dans des coffres aux PFEG. Il est ensuite achet\u00e9 et vendu de mani\u00e8re num\u00e9rique et s\u00e9curis\u00e9e sur la plateforme, sans envoi \u00e0 domicile, \u00e9vitant ainsi de nouveaux transports. Une autre fa\u00e7on de s\u2019engager en faveur d\u2019un or vert, plus durable et plus responsable.
<\/p>\r\n\u00a0<\/h3>\r\n
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2. Extraction de l\u2019or : quelles cons\u00e9quences pour l\u2019homme et l\u2019environnement ?
<\/h2>\r\nOrpaillage ill\u00e9gal, composants chimiques, accidents… Un impact majeur sur l\u2019environnement<\/h3>\r\n
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Montagne d\u2019or, orpaillage ill\u00e9gal : la controverse autour de l\u2019or en Guyane<\/h3>\r\n
*Un nouveau projet cens\u00e9 remplacer la Montagne d\u2019or et baptis\u00e9 \u201cEsp\u00e9rance<\/a>\u201d a vu le jour…<\/p>\r\nL\u2019extraction de l\u2019or est \u00e9galement au c\u0153ur de scandales sociaux<\/h3>\r\n
<\/p>\r\n3. Comment l\u2019extraction aurif\u00e8re et le recyclage peuvent soutenir un or propre et \u00e9thique ?<\/h2>\r\n\r\n
Des labels pour un or propre : Fairmined, Fairtrade<\/h3>\r\n
<\/p>\r\nVeraCash fait confiance \u00e0 la LBMA<\/h3>\r\n
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Le recyclage, une autre fa\u00e7on de garantir un or propre<\/h3>\r\n
Le recyclage\u00a0est une solution \u00e9vidente lorsque l\u2019on cherche \u00e0 r\u00e9duire son impact environnemental. Cela permet de donner une nouvelle vie aux m\u00e9taux pr\u00e9cieux<\/strong> utilis\u00e9s dans les composants \u00e9lectroniques\u00a0: des ordinateurs ou des smartphones par exemple, ou aux objets pr\u00e9cieux, aux cr\u00e9ations\u00a0qui sont pass\u00e9es de mode en bijouterie\u00a0ou aux pi\u00e8ces d\u2019or ab\u00eem\u00e9es ou d\u00e9mon\u00e9tis\u00e9es. Ainsi, on \u00e9vite la pollution li\u00e9e \u00e0 l\u2019extraction de l\u2019or, puisque celui-ci a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 produit. Mais il faut quand m\u00eame s\u2019assurer que cet or recycl\u00e9 respecte des conditions strictes de tra\u00e7abilit\u00e9 et d\u2019\u00e9thique<\/strong>.<\/p>\r\n4. Vers un or propre : adopter une consommation plus responsable<\/h2>\r\n\r\n
La bijouterie \u00e9thique : un mouvement soci\u00e9tal fort !<\/h3>\r\n
Des bonnes pratiques en faveur d\u2019un or plus durable<\/h3>\r\n
L\u2019achat d\u2019or responsable passe aussi par les habitudes de chacun : personne ne souhaite soutenir des conflits en Afrique en achetant du \u00ab\u00a0blood gold\u00a0\u00bb ou encourager les mauvaises pratiques d\u2019extraction ! Un acheteur doit donc v\u00e9rifier la fili\u00e8re et les \u00e9ventuels labels et doit \u00e9galement utiliser l\u2019or achet\u00e9 de mani\u00e8re raisonn\u00e9e pour limiter son empreinte carbone.\u00a0VeraCash stocke l\u2019or physique dans des coffres aux PFEG. Il est ensuite achet\u00e9 et vendu de mani\u00e8re num\u00e9rique et s\u00e9curis\u00e9e sur la plateforme, sans envoi \u00e0 domicile, \u00e9vitant ainsi de nouveaux transports. Une autre fa\u00e7on de s\u2019engager en faveur d\u2019un or vert, plus durable et plus responsable.
<\/p>\r\n\u00a0<\/h3>\r\n
Quelles sont les techniques utilis\u00e9es pour extraire l’or\u00a0?<\/strong><\/h4>\r\n\r\n
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2. Extraction de l\u2019or : quelles cons\u00e9quences pour l\u2019homme et l\u2019environnement ?
<\/h2>\r\nOrpaillage ill\u00e9gal, composants chimiques, accidents… Un impact majeur sur l\u2019environnement<\/h3>\r\n
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Montagne d\u2019or, orpaillage ill\u00e9gal : la controverse autour de l\u2019or en Guyane<\/h3>\r\n
*Un nouveau projet cens\u00e9 remplacer la Montagne d\u2019or et baptis\u00e9 \u201cEsp\u00e9rance<\/a>\u201d a vu le jour…<\/p>\r\nL\u2019extraction de l\u2019or est \u00e9galement au c\u0153ur de scandales sociaux<\/h3>\r\n
<\/p>\r\n3. Comment l\u2019extraction aurif\u00e8re et le recyclage peuvent soutenir un or propre et \u00e9thique ?<\/h2>\r\n\r\n
Des labels pour un or propre : Fairmined, Fairtrade<\/h3>\r\n
<\/p>\r\nVeraCash fait confiance \u00e0 la LBMA<\/h3>\r\n
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Le recyclage, une autre fa\u00e7on de garantir un or propre<\/h3>\r\n
Le recyclage\u00a0est une solution \u00e9vidente lorsque l\u2019on cherche \u00e0 r\u00e9duire son impact environnemental. Cela permet de donner une nouvelle vie aux m\u00e9taux pr\u00e9cieux<\/strong> utilis\u00e9s dans les composants \u00e9lectroniques\u00a0: des ordinateurs ou des smartphones par exemple, ou aux objets pr\u00e9cieux, aux cr\u00e9ations\u00a0qui sont pass\u00e9es de mode en bijouterie\u00a0ou aux pi\u00e8ces d\u2019or ab\u00eem\u00e9es ou d\u00e9mon\u00e9tis\u00e9es. Ainsi, on \u00e9vite la pollution li\u00e9e \u00e0 l\u2019extraction de l\u2019or, puisque celui-ci a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 produit. Mais il faut quand m\u00eame s\u2019assurer que cet or recycl\u00e9 respecte des conditions strictes de tra\u00e7abilit\u00e9 et d\u2019\u00e9thique<\/strong>.<\/p>\r\n4. Vers un or propre : adopter une consommation plus responsable<\/h2>\r\n\r\n
La bijouterie \u00e9thique : un mouvement soci\u00e9tal fort !<\/h3>\r\n
Des bonnes pratiques en faveur d\u2019un or plus durable<\/h3>\r\n
L\u2019achat d\u2019or responsable passe aussi par les habitudes de chacun : personne ne souhaite soutenir des conflits en Afrique en achetant du \u00ab\u00a0blood gold\u00a0\u00bb ou encourager les mauvaises pratiques d\u2019extraction ! Un acheteur doit donc v\u00e9rifier la fili\u00e8re et les \u00e9ventuels labels et doit \u00e9galement utiliser l\u2019or achet\u00e9 de mani\u00e8re raisonn\u00e9e pour limiter son empreinte carbone.\u00a0VeraCash stocke l\u2019or physique dans des coffres aux PFEG. Il est ensuite achet\u00e9 et vendu de mani\u00e8re num\u00e9rique et s\u00e9curis\u00e9e sur la plateforme, sans envoi \u00e0 domicile, \u00e9vitant ainsi de nouveaux transports. Une autre fa\u00e7on de s\u2019engager en faveur d\u2019un or vert, plus durable et plus responsable.
<\/p>\r\n\u00a0<\/h3>\r\n
La ru\u00e9e vers l\u2019or, symbole de l\u2019impact environnemental et soci\u00e9tal\u00a0?<\/h3>\r\n
<\/p>\r\nComment l\u2019or est-il extrait\u00a0?<\/h3>\r\n\r\n
Des m\u00e9thodes d’extraction de l’or en constante \u00e9volution<\/h4>\r\n
Quelles sont les techniques utilis\u00e9es pour extraire l’or\u00a0?<\/strong><\/h4>\r\n\r\n
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2. Extraction de l\u2019or : quelles cons\u00e9quences pour l\u2019homme et l\u2019environnement ?
<\/h2>\r\nOrpaillage ill\u00e9gal, composants chimiques, accidents… Un impact majeur sur l\u2019environnement<\/h3>\r\n
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Montagne d\u2019or, orpaillage ill\u00e9gal : la controverse autour de l\u2019or en Guyane<\/h3>\r\n
*Un nouveau projet cens\u00e9 remplacer la Montagne d\u2019or et baptis\u00e9 \u201cEsp\u00e9rance<\/a>\u201d a vu le jour…<\/p>\r\nL\u2019extraction de l\u2019or est \u00e9galement au c\u0153ur de scandales sociaux<\/h3>\r\n
<\/p>\r\n3. Comment l\u2019extraction aurif\u00e8re et le recyclage peuvent soutenir un or propre et \u00e9thique ?<\/h2>\r\n\r\n
Des labels pour un or propre : Fairmined, Fairtrade<\/h3>\r\n
<\/p>\r\nVeraCash fait confiance \u00e0 la LBMA<\/h3>\r\n
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Le recyclage, une autre fa\u00e7on de garantir un or propre<\/h3>\r\n
Le recyclage\u00a0est une solution \u00e9vidente lorsque l\u2019on cherche \u00e0 r\u00e9duire son impact environnemental. Cela permet de donner une nouvelle vie aux m\u00e9taux pr\u00e9cieux<\/strong> utilis\u00e9s dans les composants \u00e9lectroniques\u00a0: des ordinateurs ou des smartphones par exemple, ou aux objets pr\u00e9cieux, aux cr\u00e9ations\u00a0qui sont pass\u00e9es de mode en bijouterie\u00a0ou aux pi\u00e8ces d\u2019or ab\u00eem\u00e9es ou d\u00e9mon\u00e9tis\u00e9es. Ainsi, on \u00e9vite la pollution li\u00e9e \u00e0 l\u2019extraction de l\u2019or, puisque celui-ci a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 produit. Mais il faut quand m\u00eame s\u2019assurer que cet or recycl\u00e9 respecte des conditions strictes de tra\u00e7abilit\u00e9 et d\u2019\u00e9thique<\/strong>.<\/p>\r\n