{"id":7125,"date":"2023-12-01T16:35:35","date_gmt":"2023-12-01T15:35:35","guid":{"rendered":"https:\/\/www.veracash.com\/?p=7125"},"modified":"2023-12-01T16:35:35","modified_gmt":"2023-12-01T15:35:35","slug":"le-paradoxe-de-lepargne","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.veracash.com\/fr\/blog\/le-paradoxe-de-lepargne","title":{"rendered":"Le paradoxe de l\u2019\u00e9pargne"},"content":{"rendered":"
[vc_row][vc_column width=\u00a0\u00bb1\/1″][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb173156″]\u00c0 premi\u00e8re vue, \u00e9pargner semble \u00eatre un acte responsable, empreint de prudence et de sagesse, puisqu\u2019il vise \u00e0 se constituer une r\u00e9serve pour les jours de pluie, une planche de salut face aux impr\u00e9vus de la vie, \u00ab\u00a0une poire pour la soif<\/em>\u00ab\u00a0, comme on dit. Pourtant, sous cette surface rassurante se cache un dilemme \u00e9conomique qu’on pourrait appeler le paradoxe de l’\u00e9pargne<\/strong>.[\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row][vc_row][vc_column column_width_percent=\u00a0\u00bb100″ gutter_size=\u00a0\u00bb3″ back_color=\u00a0\u00bbcolor-135978″ overlay_alpha=\u00a0\u00bb50″ shift_x=\u00a0\u00bb0″ shift_y=\u00a0\u00bb0″ shift_y_down=\u00a0\u00bb0″ z_index=\u00a0\u00bb0″ medium_width=\u00a0\u00bb0″ mobile_width=\u00a0\u00bb0″ radius=\u00a0\u00bbstd\u00a0\u00bb width=\u00a0\u00bb1\/1″ uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb217435″ back_color_type=\u00a0\u00bbuncode-palette\u00a0\u00bb][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb129117″]<\/p>\n [\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row][vc_row][vc_column width=\u00a0\u00bb1\/1″][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb126067″]Car en effet, \u00e0 l’heure o\u00f9 les \u00e9conomies mondiales naviguent dans des eaux agit\u00e9es, marqu\u00e9es par une croissance an\u00e9mique et des incertitudes persistantes, l’\u00e9pargne joue un r\u00f4le pour le moins ambivalent. D’un c\u00f4t\u00e9, elle constitue pour les m\u00e9nages et les entreprises un rempart contre l’instabilit\u00e9 financi\u00e8re<\/a>, mais de l’autre, elle ralentit la circulation de la monnaie, freinant ainsi la croissance \u00e9conomique.<\/p>\n Ce paradoxe pose donc une question fondamentale : faut-il encourager l’\u00e9pargne, ce bastion de la s\u00e9curit\u00e9 financi\u00e8re individuelle, f\u00fbt-ce au prix d’une demande amoindrie pour les biens et services ? Ou devrions-nous, au contraire, rendre l’\u00e9pargne moins attrayante, pour lib\u00e9rer ces centaines de milliards n\u00e9cessaires \u00e0 une reprise \u00e9conomique vigoureuse ?[\/vc_column_text][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb172345″]<\/p>\n Dans le principe, l’\u00e9pargne est simplement l’action de mettre de c\u00f4t\u00e9 une partie de son revenu disponible. Cette pratique universelle, traversant \u00e0 la fois cultures et classes sociales, a toujours eu un double r\u00f4le : pr\u00e9voir pour les p\u00e9riodes de vaches maigres et constituer une r\u00e9serve financi\u00e8re<\/strong> pour des investissements \u00e0 venir.<\/p>\n En \u00e9conomie, l’\u00e9pargne est souvent per\u00e7ue comme un indicateur de sant\u00e9 financi\u00e8re, aussi bien pour les individus que pour les nations, car elle montre un certain niveau de vie ainsi qu’une pr\u00e9occupation rationnelle qui ne se limite pas \u00e0 la survie au quotidien. \u00c9pargner c’est par exemple penser \u00e0 sa retraite, \u00e0 l’\u00e9ducation de ses enfants, aux diff\u00e9rents impr\u00e9vus qui peuvent survenir.<\/p>\n Mais l’\u00e9pargne a \u00e9galement un c\u00f4t\u00e9 plus psychologique. Elle traduit un besoin de s\u00e9curit\u00e9, une peur plus ou moins grande de l’avenir, le d\u00e9sir de laisser un h\u00e9ritage aussi. Et ces sentiments sont d’autant plus renforc\u00e9s durant les p\u00e9riodes d’incertitude \u00e9conomique<\/a> comme celle que nous traversons actuellement, et qui succ\u00e8de \u00e0 une longue s\u00e9rie d’autres \u00ab\u00a0crises\u00a0\u00bb ayant \u00e9maill\u00e9 les 50 derni\u00e8res ann\u00e9es.<\/p>\n L’ennui c’est que, bien qu’essentielle et b\u00e9n\u00e9fique \u00e0 l’\u00e9chelle individuelle, l’\u00e9pargne introduit davantage de nuances et de complexit\u00e9s lorsqu’on l’examine \u00e0 travers le prisme de l’\u00e9conomie globale.<\/strong>[\/vc_column_text][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb151094″]<\/p>\n Quand on parle d’\u00e9conomie globale, on pense notamment \u00e0 cette fameuse croissance qui semble toujours nous \u00e9chapper, quoi qu’on fasse. Et c’est vrai que, de ce point de vue en particulier, les \u00e9pargnants vont un peu \u00e0 contre-courant de ce qu’il faudrait faire th\u00e9oriquement pour soutenir la croissance \u00e9conomique.<\/p>\n De mani\u00e8re tr\u00e8s pratique, l’\u00e9pargne influence directement la vitesse \u00e0 laquelle l’argent circule dans l’\u00e9conomie : plus les gens \u00e9pargnent ce qu’ils gagnent et moins ils d\u00e9pensent en biens et services. C’est tr\u00e8s basique. Sauf que cette r\u00e9duction de la d\u00e9pense, bien que prudente sur le plan individuel, peut conduire \u00e0 une diminution de la demande globale<\/strong>. Et en \u00e9conomie, cette dynamique est cruciale : une demande moindre risque d’entra\u00eener une production r\u00e9duite, impactant ainsi l’emploi et les investissements.<\/p>\n C’est ce qui fait dire \u00e0 certains qu’une forte \u00e9pargne contribue, au moins en partie, \u00e0 l’absence chronique de croissance significative dans un pays comme la France. Lorsqu’une part non n\u00e9gligeable des revenus est \u00e9pargn\u00e9e (on parle de quasiment 20% aujourd’hui<\/strong>), et donc retir\u00e9e du circuit de la consommation ou de l’investissement productif, elle ne contribue pas \u00e0 la croissance \u00e9conomique. C’est un peu comme si l’\u00e9conomie du pays \u00e9tait alors amput\u00e9e de plusieurs centaines de milliards d’euros chaque ann\u00e9e.[\/vc_column_text][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb164966″]<\/p>\n Mais il y a un autre effet \u00e0 l’\u00e9pargne. En mettant massivement de l’argent de c\u00f4t\u00e9, les m\u00e9nages ne se rendent pas compte qu’ils influent aussi sur l’inflation. Dans le bon sens, diront certains, celui d’une baisse des prix. Mais ce n’est pas aussi simple…<\/p>\n Concr\u00e8tement, et comme expliqu\u00e9 plus haut, l’argent qui n’est pas d\u00e9pens\u00e9 ne fait pas tourner l’\u00e9conomie r\u00e9elle, ce qui contribue donc \u00e0 r\u00e9duire la demande globale de biens et services. De leur c\u00f4t\u00e9, les vendeurs ont du mal \u00e0 \u00e9couler leurs produits et tendent \u00e0 baisser les prix pour essayer d’attirer les acheteurs par un effet d’aubaine.<\/p>\n Ce ph\u00e9nom\u00e8ne est d’autant plus flagrant en p\u00e9riode de crise \u00e9conomique, comme lors de la crise financi\u00e8re de 2008, mais aussi lorsque des conditions particuli\u00e8res emp\u00eachent les gens de consommer normalement, ce qui s’est pass\u00e9 en 2020 et en 2021 avec la crise sanitaire li\u00e9e \u00e0 l’\u00e9pid\u00e9mie de Covid-19<\/a>. Durant ces p\u00e9riodes, les taux d’\u00e9pargne ont atteint des niveaux records, et de nombreux pays ont vu leur inflation baisser au point, parfois, de devenir n\u00e9gative.<\/p>\n Or, dans un contexte macro\u00e9conomique, une faible inflation (et \u00e0 plus forte raison, une d\u00e9flation) n’est pas toujours souhaitable. Si elle peut provisoirement \u00eatre synonyme de stabilit\u00e9 des prix pour les consommateurs<\/strong>, une inflation trop basse peut \u00e9galement p\u00e9naliser les producteurs, d\u00e9courager l’investissement et faire baisser les besoins en main-d’\u0153uvre (ce qui se traduit par une augmentation du ch\u00f4mage).<\/p>\n Pour relancer l’\u00e9conomie, permettre aux entreprises de poursuivre leurs programmes d’investissements et susciter la demande en facilitant, par exemple, l’acc\u00e8s au cr\u00e9dit pour un maximum de consommateurs, les banques centrales peuvent alors d\u00e9cider de baisser les taux d’int\u00e9r\u00eat directeur<\/a>s, avec comme r\u00e9percussion principale une baisse des taux d’emprunts pour les particuliers et les professionnels. C’est notamment la politique adopt\u00e9e par la Banque Centrale Europ\u00e9enne (BCE) apr\u00e8s la crise de 2008, mais surtout apr\u00e8s 2012 et le constat que l’\u00e9conomie de la zone euro \u00e9tait d\u00e9sormais \u00e0 l’arr\u00eat. Avec un risque d\u00e9flationniste fort mettant en p\u00e9ril la comp\u00e9titivit\u00e9 de toute l’Union.<\/p>\n Mais l\u00e0 encore, une telle politique a ses limites, et surtout n’incite pas vraiment non plus les m\u00e9nages \u00e0 consommer au lieu d’\u00e9pargner. Car si on propose aux gens d’emprunter \u00e0 moindre co\u00fbt, et en particulier en France, ils en profitent g\u00e9n\u00e9ralement pour investir… dans l’immobilier. Qui est une autre fa\u00e7on de stocker de la valeur et non de consommer.<\/p>\n Sans parler sur ceux qui utilisent cette possibilit\u00e9 d’obtenir de \u00ab\u00a0l’argent gratuit\u00a0\u00bb pour se constituer une tr\u00e9sorerie \u00e0 taux quasi nul, qu’il leur suffira ensuite de transf\u00e9rer sur des produits plus rentables, lorsque les placements retrouveront des rendements plus avantageux.[\/vc_column_text][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb170476″]<\/p>\n On comprend d\u00e8s lors que l’arbitrage est tr\u00e8s compliqu\u00e9 pour les gouvernements comme pour les banques centrales dans la gestion de l’\u00e9quilibre entre \u00e9pargne s\u00e9curitaire et croissance \u00e9conomique robuste.<\/p>\n D’un c\u00f4t\u00e9, une forte \u00e9pargne assure aux agents \u00e9conomiques une s\u00e9curit\u00e9 financi\u00e8re et les aide \u00e0 envisager l’avenir en termes d’investissements futurs pour am\u00e9liorer leurs revenus sans d\u00e9pendre de la g\u00e9n\u00e9rosit\u00e9 publique<\/strong>. Mais d’un autre c\u00f4t\u00e9, cette m\u00eame \u00e9pargne freine la demande et donc la croissance.<\/p>\n Autre \u00e9l\u00e9ment de ce paradoxe, la r\u00e9duction des taux d’int\u00e9r\u00eat vise \u00e0 liquider l’\u00e9pargne excessive et \u00e0 encourager les d\u00e9penses comme les investissements. Sauf que cette politique a aussi des effets n\u00e9gatifs, car qui dit hausse de la demande dit aussi hausse des prix (inflation) et donc augmentation du co\u00fbt de la vie pour les m\u00e9nages, tandis que les entreprises voient le co\u00fbt de leurs intrants comme de leurs \u00e9quipements flamber \u00e9galement \u00e0 la hausse.<\/p>\n Dans les pays o\u00f9 les taux d’emprunts sont variables (quasiment partout sauf en France qui fait presque exception), on assiste aussi \u00e0 une aggravation de l’endettement des m\u00e9nages. Sans oublier une \u00e9rosion de l’\u00e9pargne \u00e0 long terme.<\/p>\n On le voit, rien n’est simple, mais on peut trouver des moyens pour que l’\u00e9pargne contribue de mani\u00e8re constructive \u00e0 l’\u00e9conomie tout en pr\u00e9servant la s\u00e9curit\u00e9 financi\u00e8re des individus.[\/vc_column_text][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb713920″]<\/p>\n C’est clairement un d\u00e9fi majeur, et les banques comme les gouvernements ont un r\u00f4le crucial \u00e0 jouer. En France, des solutions sont d\u00e9j\u00e0 en place, certaines pourraient \u00eatre repens\u00e9es et d’autres ne sont encore qu’\u00e0 l’\u00e9tat de projets.<\/p>\n Ainsi le Plan d’\u00c9pargne en Actions (PEA) permet d’acheter des actions d’entreprises fran\u00e7aises et europ\u00e9ennes, encourageant ainsi le r\u00e9investissement de l’\u00e9pargne dans l’\u00e9conomie r\u00e9elle. Pour ceux qui pr\u00e9f\u00e8rent placer leur argent en direct dans les entreprises, il y a aussi le dispositif de r\u00e9duction d’imp\u00f4t \u00ab\u00a0Madelin\u00a0\u00bb pour les investissements dans les PME, mais il pourrait \u00eatre \u00e9tendu ou adapt\u00e9 pour encourager sp\u00e9cifiquement la participation financi\u00e8re dans les soci\u00e9t\u00e9s de secteurs en pleine croissance (environnement, industrie verte, innovation technologique…).<\/p>\n L’\u00e9pargne elle-m\u00eame pourrait \u00eatre orient\u00e9e vers les produits ayant le plus de sens pour le d\u00e9veloppement \u00e9conomique du pays. Ainsi, le pr\u00e9l\u00e8vement forfaitaire unique (PFU), aussi appel\u00e9 \u00ab\u00a0flat tax\u00a0\u00bb, sur les revenus du capital, pourrait \u00eatre ajust\u00e9 pour favoriser les investissements dans les secteurs \u00e9conomiquement porteurs mais qui s’inscrivent aussi dans le cadre d’une croissance \u00e9conomique durable et solidaire, respectueuse de l’environnement. On peut aussi imaginer la cr\u00e9ation de compte d’\u00e9pargne \u00e0 long terme, ou encore de \u00ab\u00a0fonds d’impact\u00a0\u00bb sp\u00e9cifiques dans lesquels lesquels les \u00e9pargnants pourront placer leur argent afin de soutenir des projets industriels strat\u00e9giques ou ayant un impact social et environnemental positif, avec des garanties de rendement offertes par l’\u00c9tat ou les banques.[\/vc_column_text][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb710838″]<\/p>\n Et puis, il y a l’or. Mais pas n’importe comment.<\/p>\n Avec un compte VeraCash, vous disposez d’abord d’une r\u00e9serve de pr\u00e9caution totalement insensible \u00e0 l’inflation<\/strong>. L’or a en effet cette particularit\u00e9 de voir sa valeur suivre la hausse des prix : en cas d’inflation, chaque gramme d’or en votre possession repr\u00e9sente juste plus d’euros !<\/p>\n Mais votre compte est \u00e9galement associ\u00e9 \u00e0 une carte de paiement<\/a> classique qui vous permet de faire des achats librement et de mani\u00e8re totalement transparente aupr\u00e8s de n’importe quel commer\u00e7ant, aussi simplement que si votre compte contenait des euros. Aucune manipulation de votre part, aucun d\u00e9lai, aucune transaction interm\u00e9diaire : vous ins\u00e9rez la carte associ\u00e9e \u00e0 votre compte or dans le terminal de paiement du commer\u00e7ant, et c’est pay\u00e9.<\/p>\n Votre or passe ainsi instantan\u00e9ment d’un \u00e9tat d’\u00e9pargne \u00e0 celui de \u00ab\u00a0monnaie\u00a0\u00bb<\/strong>, vous permettant de le d\u00e9penser si besoin et favorisant par-l\u00e0 m\u00eame l’activit\u00e9 \u00e9conomique de votre ville, de votre r\u00e9gion ou de votre pays.<\/p>\n Mais \u00e0 l’autre bout de la cha\u00eene, m\u00eame si vous pouvez trouver cela relativement secondaire, dites-vous qu’en achetant de l’or en guise de \u00ab\u00a0valeur refuge\u00a0\u00bb, vous soutenez \u00e9galement l’activit\u00e9 \u00e9conomique bien concr\u00e8te d’entreprises de production du secteur primaire (le secteur minier), s\u00e9lectionn\u00e9es par VeraCash \u2014 et plus g\u00e9n\u00e9ralement par le groupe AuCOFFRE pour la fabrication de ses VeraValor) \u2014 pour leur respect de l’environnement, leurs m\u00e9thodes d’extraction responsables<\/a> et leur \u00e9thique sociale \u00e0 l’\u00e9gard de leurs employ\u00e9s.[\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row]<\/p>\n<\/div>","protected":false},"excerpt":{"rendered":" \u00c0 premi\u00e8re vue, \u00e9pargner semble \u00eatre un acte responsable, empreint de prudence et de sagesse, puisqu\u2019il vise \u00e0 se constituer une r\u00e9serve pour les jours de pluie, une planche de salut face aux impr\u00e9vus de la vie, \u00ab\u00a0une poire pour la soif\u00a0\u00bb, comme on dit. Pourtant, sous cette surface rassurante se cache un dilemme \u00e9conomique qu’on pourrait appeler le paradoxe de l’\u00e9pargne.<\/p>\n","protected":false},"author":13,"featured_media":7127,"comment_status":"open","ping_status":"closed","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"content-type":"","_jetpack_memberships_contains_paid_content":false,"footnotes":""},"categories":[33],"tags":[],"class_list":["post-7125","post","type-post","status-publish","format-standard","has-post-thumbnail","hentry","category-epargne"],"yoast_head":"\nCe qu\u2019il faut retenir<\/h2>\n
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Pourquoi \u00e9pargner ?<\/h2>\n
Quel est l’impact de l’\u00e9pargne sur la croissance \u00e9conomique<\/h2>\n
L’\u00e9pargne a-t-elle un effet sur l’inflation ?<\/h2>\n
L’\u00e9pargne : un dilemme \u00e0 la fois politique et \u00e9conomique<\/h2>\n
Peut-on r\u00e9concilier \u00e9pargne et croissance \u00e9conomique<\/h2>\n
VeraCash : une solution au paradoxe de l’\u00e9pargne<\/h2>\n