Achat et vente d’or pour les Belges : VeraCash vs les boutiques !

Fiscalité : égalité entre VeraCash et les boutiques belges

Les investisseurs sont très regardants sur la fiscalité des produits financiers qui leurs sont proposés. Et pour l’or physique, considéré comme la part « hors système » d’un portefeuille d’investissement, c’est encore plus sensible.

Pas de fiscalité pour l’or en boutique en Belgique

Sur les vitrines des boutiques d’achat et de vente d’or, la mention concernant la fiscalité est très visible. En effet, il n’y a pas de TVA sur l’or en Belgique à l’achat. De même, les taxes sur les ventes et l’achat d’or n’existent pas. Pour les Belges, c’est un argument massue : l’or est annoncé « Free Tax ». Dont acte. (Pour les résidents fiscaux français, les taxes sur les ventes seront réclamées par les impôts français.)

Chez VeraCash, absence de fiscalité aussi

La société VeraCash étant immatriculée en France, elle est soumise à la fiscalité française sur le commerce d’or mais, les belges (sauf s’ils étaient résidents fiscaux français. Mais pourquoi feraient-ils ça ? 😉 ) ne sont pas concernés.

Et la TVA ?

Il n’y a pas non plus de TVA sur les produits sous-jacents d’un compte VeraCash puisqu’il s’agit de l’or d’investissement, exonérée de TVA selon une loi européenne. Sincèrement, “Bruxelles je t’aime !“ comme le chante Angèle. En général, ce sont des pièces frappées ou ayant eu cours légal après 1800, avec un titre de 900 millièmes. C’est aussi vrai avec les lingots de plus de 995 millièmes mais eux, n’entrent pas dans la catégorie de la franchise fiscale. Donc il n’y en a pas en Gold Premium.

Bon à savoir : Pour les pièces en argent, en Belgique, il existe une TVA de 21 % sur la vente d’argent métal. Le compte VeraCash est donc plus intéressant pour les Belges : il n’y a pas de TVA chez VeraCash puisque les pièces en argent sont stockées dans une zone franche.

Risque et sécurité : VeraCash l’emporte

Se protéger du vol d’or

Le principe de la numérisation de l’or permet à l’or physique de rester bien à l’abri dans des coffres hautement sécurisés. Les opérations d’achat et de vente sont uniquement des transactions numériques. Personne ne se promène avec des pièces d’or dans la rue. Il faudrait solliciter un transport de fonds professionnel, ce qui ajouterait un surcoût à l’or acheté.

Et si les boutiques ne sont pas accessibles ?

Une question qui peut sembler bien étonnante mais des événements récents nous montrent que parfois, les boutiques sont fermées à double tour, par les autorités. C’était en 2020, la crise COVID et le confinement. À quoi peuvent servir des pièces d’or ou des lingots s’ils ne sont pas liquides ? Si personne n’est là pour les échanger contre des euros ? Là aussi, avec VeraCash, l’or peut être dépensé via une carte de paiement et même par de l’échange entre pairs de compte à compte.

Sécuriser ses paiements

La multiplication des boutiques d’achat et de vente d’or sur le territoire belge augmente le risque de transactions avec un opérateur peu scrupuleux. Les professionnels sont, dans leur grande majorité, des personnes respectables. Mais c’est la loi des grands nombres : il peut aussi y avoir des « margoulins » sur le marché. De plus, même si les achats en espèces sont possibles jusqu’à 3 000 euros en Belgique, le paiement par virement (sur un IBAN belge ou français) est le premier niveau de sécurité d’une transaction.

Les commissions fluctuantes des marchands d’or

Le prix de l’or d’investissement, des pièces d’or est libre. Il existe bien évidemment des cotations. Mais le prix d’une pièce dépend au-delà de sa teneur en or de son état, de sa rareté, de son millésime, de son graveur parfois. C’est la prime : la différence entre le prix de l’or contenu et le prix de vente. Les valeurs affichées peuvent être très différentes d’une boutique à l’autre. On ajoutera à cela la commission du vendeur qui elle aussi est libre. Les meilleures offres sont en général autour de 3 % mais cela peut aller bien au-delà. Quand il s’agit d’une vente de pièces d’un particulier à un commerçant, la différence est souvent plus importante. Le professionnel préservant sa marge en cas de baisse des cours de l’or. Chez VeraCash, le prix du GoldPremium est le prix « spot » (cours de l’or) + prime.

La transmutation : l’achat d’or aux particuliers de Veracash

Nous proposons, comme les boutiques, de racheter l’or des particuliers en Belgique. Les tarifs d’achats par nos experts en métaux précieux sont particulièrement intéressants pour les vendeurs de pièces d’or (et d’argent) et de lingots d’or : spot – 3 % ! Quand dans les boutiques, la négociation sur la reprise peut être très (très) difficile par rapport au prix spot ou de cotation.

L’achat et la vente d’or par les Français en Belgique

La vente d’or des français en Belgique

Petite précision pour les personnes qui pensaient profiter des avantages fiscaux en franchissant la frontière entre la France et la Belgique. Oui ! L’acheteur d’or belge ne déclare aucune taxe ni impôt à son client français qui viendrait lui vendre de l’or… Sauf qu’au retour, le fisc français, lui, va s’empresser d’appliquer les lois françaises en constatant un virement de plusieurs dizaines de milliers d’euros en provenance par exemple d’une mystérieuse boutique “Les goldeux de la Grand-Place”. Impôts, taxes… tout sera récupéré.

L’achat d’or par des français en Belgique

Sur l’or transporté entre la Belgique et la France, il y a une limite de 10 000 euros en valeurs sans documents officiels à chaque passage de frontière. Au-delà, c’est une amende et possiblement une saisie. Acheter de l’or en Belgique sans déclaration officielle n’est vraiment pas une bonne idée pour des Français.