Inflation, dette publique, taux d’intérêt qui augmentent, prix de l’énergie qui flambent… Les signaux économiques sont en train de passer à l’orange. En cas de ralentissement économique, voire de récession, que faut-il comme patrimoine à sa disposition ?
Préparer son épargne sur le long terme
Loin de nous l’idée de jouer les oiseaux de mauvais augure. Mais comme le disait un chef d’entreprise, c’est quand tout va bien qu’il faut se préparer au pire.
Un taux d’épargne au plus haut
En l’occurrence, si les années précédentes n’étaient pas totalement roses, il faut bien constater que le taux d’épargne des Français n’a jamais été aussi haut qu’en 2020 (source INSEE). On a atteint des sommets pendant l’année COVID avec quasiment 19 % du revenu brut des ménages épargné. En 2021, ce taux a baissé à 18,7 % mais c’est tout de même très important. En comparaison, en 1987, cet argent non utilisé ne représente que 11 % du revenu des ménages.
Bon à savoir : Pourquoi une comparaison avec 1987 ? Cette année-là, les taux d’intérêt sont brutalement relevés. Et cela fait craindre aux investisseurs un arrêt brutal de l’économie. Les marchés s’effondrent le 19 octobre.
On n’est pas tous égaux face à la récession
Pendant les périodes de récession, pour les actifs, le risque majeur est la perte de revenus. Pour les retraités, c’est une autre histoire : même si leurs pensions venaient à baisser, elles suivraient, au pire, la courbe des prix. La baisse de pouvoir d’achat peut intervenir aussi en cas d’inflation forte. Donc pour les retraités mais aussi pour les agents des services publics, une récession est quasiment une aubaine avec de bonnes affaires potentielles à faire sur le dos des secteurs en difficulté. Oui, cela semble cynique écrit comme ça mais c’est une réalité financière et économique.
Épargne : que faire en cas de récession économique ?
La situation en 2022 est donc plutôt favorable pour les finances des particuliers. En cas de récession, votre épargne va jouer les amortisseurs. Reste à savoir si elle est adaptée à la situation.
Période de récession : l’épargne doit être disponible
Quand la crise fut venue, pas un sou disponible pour la cigale mais aussi pour la fourmi un peu trop imprudente ! Cette fourmi qui aurait placé ses revenus disponibles uniquement dans l’immobilier mais aussi peut-être dans des assurances vie. Des placements peu liquides, qui demandent du temps pour libérer les fonds. Lors de la dernière crise immobilière en 1991, les propriétaires de gros portefeuilles immobiliers avaient été obligés de brader quelques biens pour récupérer des liquidités.
Eviter le stockage d’argent liquide sur un compte courant
Evidemment, sur un compte bancaire, l’argent est immédiatement accessible. Mais il ne travaille pas. Cela ne peut pas être un moyen d’épargne dans l’attente d’une éventuelle récession. Laisser son argent sur son compte courant est devenu un sport national en France mais ce n’est vraiment pas une bonne solution.
VeraCash : le meilleur des deux mondes
Notre solution permet d’épargner sous la forme d’un actif tangible, l’or physique qui est plutôt contracyclique dans les périodes de crise économique. On note aussi une augmentation de la valeur de l’or physique quand une monnaie s’affaiblit, ce qui est le cas lors d’une récession.
La valeur de l’or disponible
Le deuxième effet de l’offre VeraCash : permettre une transformation instantanée de sa réserve d’or en euros. L’or physique devient liquide et pas besoin de passer par les hauts fourneaux pour ça. Cette digitalisation d’or autorise la conversion immédiate de grammes de métal précieux dans leur équivalent en euros. L’épargne est donc disponible.
Récession : se préparer à réduire son train de vie
L’ultime solution, c’était celle de nos anciens : être encore plus fourmi. Surtout si l’épargne disponible n’est pas importante au moment de l’entrée en récession. Pas besoin de développer mais en décortiquant son budget, on arrive toujours à trouver des moyens de grapiller quelques euros : contrats d’assurance à renégocier, tout comme celui de la téléphonie… Et ce ne sont que deux exemples. En analysant ses relevés bancaires, on trouve toujours des abonnements oubliés qui grapillent quelques miettes sur son pouvoir d’achat. Notamment si l’inflation reste forte.
Renégocier sa dette ?
Il faut être particulièrement prudent sur ce point. En effet, jusqu’en 2021, les taux d’emprunts étaient vraiment très faibles. Il est peu probable de pouvoir obtenir des taux encore plus bas. On peut toujours jouer sur le montant des assurances emprunteur mais aussi sur la durée du remboursement. Un moyen de réduire ses mensualités mais aussi d’allonger son engagement. Il faut donc bien réfléchir et ne pas oublier de penser « long terme » en essayant d’imaginer le monde d’après.
Brand & Content Manager chez Veracash.
Curieux de tout et en particulier d'Économie, de ses transformations et de l'impact qu'elle a sur nos sociétés.
Toutes les questions méritent une réponse, avec recul et pédagogie.